Fief seigneurial vassal de Roussillon-en-Dauphiné
Tiercé en pairle au premier d'azur, à la colombe essorante d'argent ; au second, de gueules à un aigle d'or à la tête contournée ; au troisième, de gueules à un aigle d'or.
Un Oiseau de grande envergure prend de la distance
Dans un ciel si haut qu’il peut trouver dans l’immobilité
L’apparent silence du temps, ses ailes ont cette assurance
C’est un Rapace au regard puissant, a-t-il sa proie, oublié?
Du ciel où il est Roi, le soleil embellit son plumage
Le miroir dans lequel il se fond, a l’éclat des rayons
Son épopée avec une colombe lui donne le secret du voyage
Quand il s’élève ainsi, le paysage est un étrange vallon
Chaque point si infime est avant tout la vue ultime
C’est ainsi que rien n’est séparé, la majesté est loi
Du mouvement inaltéré des ailes qui touchent chaque cime
Son âme sait où se réfugier, dans ce qui est Contemplation
La Colombe adoucit la cruauté, d’elle, il apprend la Compassion
Le soleil ne l’aveugle pas et face à lui, il est dans ce qui est pure Joie
C’est de cette douceur qu’il prend des forces, d’elle aussi, il vit cet émoi.
Naïla
Dans un ciel si haut qu’il peut trouver dans l’immobilité
L’apparent silence du temps, ses ailes ont cette assurance
C’est un Rapace au regard puissant, a-t-il sa proie, oublié?
Du ciel où il est Roi, le soleil embellit son plumage
Le miroir dans lequel il se fond, a l’éclat des rayons
Son épopée avec une colombe lui donne le secret du voyage
Quand il s’élève ainsi, le paysage est un étrange vallon
Chaque point si infime est avant tout la vue ultime
C’est ainsi que rien n’est séparé, la majesté est loi
Du mouvement inaltéré des ailes qui touchent chaque cime
Son âme sait où se réfugier, dans ce qui est Contemplation
La Colombe adoucit la cruauté, d’elle, il apprend la Compassion
Le soleil ne l’aveugle pas et face à lui, il est dans ce qui est pure Joie
C’est de cette douceur qu’il prend des forces, d’elle aussi, il vit cet émoi.
Naïla