Blason de la Maison de Clefmont (Comté de Bassigny)
Est-il une Saison lors que L'Appel s'impose à toi ?
Frémissement de L'Amour qui se veut Chant
Je me suis arrêtée en cet instant qui se pressent
Ô Toi, qui es-tu pour avoir franchi le Temps courtois ?
Ta Majesté me trouble et je Te sens en moi
Beauté immobile et irradiée des Rayons du Roi
T'approches-tu imperceptible en ondes successives ?
Je suis à errer en ce sous-bois, éplorée par Ta Présence
Subrepticement Tu es à envelopper mon âme effusive
Brame du Cerf lors qu'est à se déployer L'Arborescence
Éclairante des Gloires de Ton imposante Assurance
Je suis farouche et sauvage à la fois sous Ton Regard
Tu es à me dire : venez, je vous veux en ma Souvenance
En ce Don entier, en cette Union Philosophale
En votre mélancolie qui se veut douce et en mon Espoir
La Dame de mon Chant est ainsi mon Épouse Virginale
Lors que ses larmes ont atteint L'Azur de mon Amour
Ma Dame, il n'est aucune saison pour répondre à Mon Appel
En cette Ardeur que Je sais être vôtre, à la pointe du jour
Lors que votre âme s'émerveille encore du Noble Amour
Ma Dame, il n'est aucune saison si ce n'est la mienne, Éternelle
Je vous veux heureuse et à Mes côtés, en ce Lieu, pour toujours.
Naïla
Est-il une Saison lors que L'Appel s'impose à toi ?
Frémissement de L'Amour qui se veut Chant
Je me suis arrêtée en cet instant qui se pressent
Ô Toi, qui es-tu pour avoir franchi le Temps courtois ?
Ta Majesté me trouble et je Te sens en moi
Beauté immobile et irradiée des Rayons du Roi
T'approches-tu imperceptible en ondes successives ?
Je suis à errer en ce sous-bois, éplorée par Ta Présence
Subrepticement Tu es à envelopper mon âme effusive
Brame du Cerf lors qu'est à se déployer L'Arborescence
Éclairante des Gloires de Ton imposante Assurance
Je suis farouche et sauvage à la fois sous Ton Regard
Tu es à me dire : venez, je vous veux en ma Souvenance
En ce Don entier, en cette Union Philosophale
En votre mélancolie qui se veut douce et en mon Espoir
La Dame de mon Chant est ainsi mon Épouse Virginale
Lors que ses larmes ont atteint L'Azur de mon Amour
Ma Dame, il n'est aucune saison pour répondre à Mon Appel
En cette Ardeur que Je sais être vôtre, à la pointe du jour
Lors que votre âme s'émerveille encore du Noble Amour
Ma Dame, il n'est aucune saison si ce n'est la mienne, Éternelle
Je vous veux heureuse et à Mes côtés, en ce Lieu, pour toujours.
Naïla
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De gueules au cerf passant d'or.
Voir aussi sur La profondeur