Blason de Větrušice (Tchéquie)
L’univers est un instrument, entends le vent
Il souffle comme la plainte entre les arbres
Râle de l’agonisant, devenu ce mendiant
Tient, l’indécent, en sa main, un drôle de sabre
Lacère ainsi sa raison perdue dans l’Éther
Ou est-ce la coupe dans laquelle il se noie?
Il marmonne des mots qu’il ne comprend guère
Parfois s’émeut du passant, de sa pauvre joie
Entends le vent qui dit de ces choses extrêmes
Entends comme il soumet tout ce qu’Il aime
Entends le vent, il transporte mon âme, là
Je veux la retenir, mais n’y arrive pas
L’univers, Sa création sont La Clé de l’Inconnu
Si je t’assure, je meurs d’avoir entendu
Tout vibre, ma raison s’est enfuie, juste là
Dans Son souffle les larmes sont toute ma joie
Sur les rives sereines, que mon corps entier soit
Déjà il me semble l’envelopper de cette terre
Linceul, vieux draps, pour toujours en ce grand Mystère
Mendiant je suis, dans cette folie, je demeure
Mes pas foulent un sol qu’on ne voit pas encore
Je LUI fait don de cette vie qui n’est que mort
Un passant essuie le râle du fou qui pleure
Les larmes qu’on essuie ici, sont mon bonheur
Là-bas, le pont jeté qui traverse l’enfer
Un pont qui devient le fil que je conquière
Ô dans le vent qui est encore Son Rappel
Chant Céleste qui me ravit dans l’Éternel.
Il souffle comme la plainte entre les arbres
Râle de l’agonisant, devenu ce mendiant
Tient, l’indécent, en sa main, un drôle de sabre
Lacère ainsi sa raison perdue dans l’Éther
Ou est-ce la coupe dans laquelle il se noie?
Il marmonne des mots qu’il ne comprend guère
Parfois s’émeut du passant, de sa pauvre joie
Entends le vent qui dit de ces choses extrêmes
Entends comme il soumet tout ce qu’Il aime
Entends le vent, il transporte mon âme, là
Je veux la retenir, mais n’y arrive pas
L’univers, Sa création sont La Clé de l’Inconnu
Si je t’assure, je meurs d’avoir entendu
Tout vibre, ma raison s’est enfuie, juste là
Dans Son souffle les larmes sont toute ma joie
Sur les rives sereines, que mon corps entier soit
Déjà il me semble l’envelopper de cette terre
Linceul, vieux draps, pour toujours en ce grand Mystère
Mendiant je suis, dans cette folie, je demeure
Mes pas foulent un sol qu’on ne voit pas encore
Je LUI fait don de cette vie qui n’est que mort
Un passant essuie le râle du fou qui pleure
Les larmes qu’on essuie ici, sont mon bonheur
Là-bas, le pont jeté qui traverse l’enfer
Un pont qui devient le fil que je conquière
Ô dans le vent qui est encore Son Rappel
Chant Céleste qui me ravit dans l’Éternel.
Naïla