Que jamais ne s'effacent ces heures gravées au feu
Sur la toile intérieure dont parfois les couleurs
Se ravivent, quand souffle le vent insidieux
Des jours heureux promis à de cruelles douleurs.
Tant de lieux sont encore chauds de tous ces instants
Arrachés des griffes de l'implacable destin ;
De toutes ces folles échappées dérobées au temps,
Le Jardin demeure et sa table de festin.
Il est des lieux, désormais, où je n'irai plus,
De peur de marcher encore sur les chemins vides
Creusés d'ornières menant aux lendemains arides.
Mais l'Âme poursuit sa route, en sa quête d'Absolu ;
De porte en porte et de ténèbres en Lumière,
Jamais plus ne s'en retournera en arrière.
Marc
L'Enclos Virginal
Naïla
L'Enclos Virginal
Sous La Voûte Édénique est un enclos virginal
Les yeux ont rencontré les vagues ondoyantes
De L'improbable Lieu devenu Sentier Vertical
Le Temps s'est invité en Sa singularité clairvoyante
L’étonnement est une Grâce que le Cœur surprend
En un tressautement qui ne sait plus se définir
Lors que les branches frémissent au vent luxuriant
Et que l'Âme se suspend en L'Essence d'un soupir
L'intention se veut incessante Pureté de Cristal
Au pied de L'Arbre, est le murmure de L'Oraison
Les furtives perceptions d'un Monde Subliminal
Le Compagnon ouvre une brèche en notre horizon
Le Ciel arbore les Parures de L'Invisible Manteau
Il n'est plus aucun Souffle excepté Celui du Roi
Ô Âme, soyons unis et tenons haut Le Flambeau
Que nos êtres cherchent La Paix en cet intime émoi
En ce Jardin, sont révélés tous nos profonds états
Le silence ponctue souvent nos promenades
Ô Âme, qu'ai-je appris ici, si ce n'est de voir L'Insondable,
Qui se voulait perpétuelles Révérences du Cœur ?
Il n'est de vide qu'en notre esprit, rien n'est jamais perdu
En ces allées, comme est vivante notre innocente ardeur
Rencontrer Son Noble Roi est L’Éternité tant attendue
J'ai plongé en ce Centre qui est aussi Ton précieux Cœur
Me suis allongée sur le parterre de mon indicible Bonheur !
Les yeux ont rencontré les vagues ondoyantes
De L'improbable Lieu devenu Sentier Vertical
Le Temps s'est invité en Sa singularité clairvoyante
L’étonnement est une Grâce que le Cœur surprend
En un tressautement qui ne sait plus se définir
Lors que les branches frémissent au vent luxuriant
Et que l'Âme se suspend en L'Essence d'un soupir
L'intention se veut incessante Pureté de Cristal
Au pied de L'Arbre, est le murmure de L'Oraison
Les furtives perceptions d'un Monde Subliminal
Le Compagnon ouvre une brèche en notre horizon
Le Ciel arbore les Parures de L'Invisible Manteau
Il n'est plus aucun Souffle excepté Celui du Roi
Ô Âme, soyons unis et tenons haut Le Flambeau
Que nos êtres cherchent La Paix en cet intime émoi
En ce Jardin, sont révélés tous nos profonds états
Le silence ponctue souvent nos promenades
Ô Âme, qu'ai-je appris ici, si ce n'est de voir L'Insondable,
Qui se voulait perpétuelles Révérences du Cœur ?
Il n'est de vide qu'en notre esprit, rien n'est jamais perdu
En ces allées, comme est vivante notre innocente ardeur
Rencontrer Son Noble Roi est L’Éternité tant attendue
J'ai plongé en ce Centre qui est aussi Ton précieux Cœur
Me suis allongée sur le parterre de mon indicible Bonheur !
Naïla