J'appartiens à cette gente élevée en plein air
Où l'herbe à brouter donne les meilleurs œufs du monde.
J'aimais à réveiller le mien au matin clair,
Donnant le la à tous mes compères à la ronde.
Un soir, je vis dans le ciel l'étoile du berger
Qui montait tranquillement sous la voûte céleste ;
C'était au temps où la pomme se cueille au verger,
Où l'âme se laisse aller à la douceur agreste.
Je la voulus suivre et me mis en chemin,
Sans plus me soucier d'avant ni du lendemain.
Adieu veau, vache, cochon... comme disait la Perrette !
Je rencontrai une Gente poule, à une croisée,
Qui m'éclaira sur tout, sans jamais chinoiser.
De la quadrature, nous arrondîmes les arêtes.
Marc
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De sinople au coq hardi d'argent, allumé crêté, becqué et barbé de gueules ; mantelé, denticulé en chef de trois pièce d'or et chargé à dextre d'un bouton à quatre trous du même, et à senestre d'une étoile de brasseur aussi d'or.
Une poule séduite par le chant du Coq?
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