Une Colombe frémit au Lever du Jour
De ses ailes douces, Le Ciel soupire
La caresse de L'Oiseau est de velours
Des joyaux perlent en son profond Expir
Les effluves immaculées sont ses Larmes
Que recueillent les fils de Lumière
En voici l'Arc-en-Ciel que vêt L'Âme
Un pont que rencontre La belle Terre
De sa poitrine fragile, douceur émane
Le Chant est-il subtil tracé du cœur ?
Ô ma Colombe, j'entends bien ce Pleur
Du firmament, peux-tu refuser La Manne?
En posant ton regard sur ce Mystère
Tu vois les Royaumes de l'exhalé soupir
Tant de fois en ce monde de L’Éther
Ton corps est transpercé de L'âpre désir
Lors que Chair se veut entière Lumière
Te voici unissant ton Chant à L'Azur
Implorant la Grâce en ce Noble Sanctuaire
De Rosées qu'étreignent les diaprures
Ton vol est d'une force peu commune
Celui qui te porte ainsi à ta mesure
Te plonge en une extase si pure
En témoignent les étoiles chacune.
La caresse de L'Oiseau est de velours
Des joyaux perlent en son profond Expir
Les effluves immaculées sont ses Larmes
Que recueillent les fils de Lumière
En voici l'Arc-en-Ciel que vêt L'Âme
Un pont que rencontre La belle Terre
De sa poitrine fragile, douceur émane
Le Chant est-il subtil tracé du cœur ?
Ô ma Colombe, j'entends bien ce Pleur
Du firmament, peux-tu refuser La Manne?
En posant ton regard sur ce Mystère
Tu vois les Royaumes de l'exhalé soupir
Tant de fois en ce monde de L’Éther
Ton corps est transpercé de L'âpre désir
Lors que Chair se veut entière Lumière
Te voici unissant ton Chant à L'Azur
Implorant la Grâce en ce Noble Sanctuaire
De Rosées qu'étreignent les diaprures
Ton vol est d'une force peu commune
Celui qui te porte ainsi à ta mesure
Te plonge en une extase si pure
En témoignent les étoiles chacune.
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