Blason de la famille de Carhei (Loire-Atlantique)
L'Ami corbeau, fils du Temps qui écorchez le silence,
Des neiges flottantes sous les pas de mon adolescence !
C'est par le vent des lumières que je vous envoie,
Cette Missive, et voilà que surgit l'envolée lyrique.
Sont-ce les chants de nos retrouvailles ou le furtif émoi ?
Les bois de nos promenades hésitantes et les effluves oniriques,
Lors que notre cœur est ivre, s'unissent à votre humble présence.
L'Ami corbeau, c'est de velours qu'est votre insolite plumage.
J'ai souvenir des murmures du givre et des flocons de nos nuits.
L'Hiver glace les mains que nous tendons en cette longue marche.
C'est ainsi que le ciel emplit la poitrine qui s'extasie de la danse
Et des singuliers mouvements, lors que les écumes sont aussi des pluies.
Au loin, j'épouse votre douce solitude et vous interpelle, émue :
Ô Vous, les Amis qui nous apprenez l'élan fougueux et sauvage,
Dame Nature est semblable à un songe que trace ce beau voyage !
Sur les branches que vous habitez, s'étend l'extrême de votre regard nu.
L'Ami Corbeau, j'embrasse ce Ciel des mille grâces envoûtantes.
L'hiver est suave chaleur de l'intimité que nous sommes à partager.
L'Ami corbeau, survolez de vos ailes L'Amitié naissante !
Suis-je à embrasser les instants que nos souffles avivent ?
Le Temps est l'océan que des vagues ont su déployer.
Remous puis sérénité en l’Étincelle d'une Etoile vive.
Depuis les nudités d'une saison profonde, je suis à vous soupirer.
Océan sans rivage
L'Ami corbeau, fils du Temps qui écorchez le silence,
Des neiges flottantes sous les pas de mon adolescence !
C'est par le vent des lumières que je vous envoie,
Cette Missive, et voilà que surgit l'envolée lyrique.
Sont-ce les chants de nos retrouvailles ou le furtif émoi ?
Les bois de nos promenades hésitantes et les effluves oniriques,
Lors que notre cœur est ivre, s'unissent à votre humble présence.
L'Ami corbeau, c'est de velours qu'est votre insolite plumage.
J'ai souvenir des murmures du givre et des flocons de nos nuits.
L'Hiver glace les mains que nous tendons en cette longue marche.
C'est ainsi que le ciel emplit la poitrine qui s'extasie de la danse
Et des singuliers mouvements, lors que les écumes sont aussi des pluies.
Au loin, j'épouse votre douce solitude et vous interpelle, émue :
Ô Vous, les Amis qui nous apprenez l'élan fougueux et sauvage,
Dame Nature est semblable à un songe que trace ce beau voyage !
Sur les branches que vous habitez, s'étend l'extrême de votre regard nu.
L'Ami Corbeau, j'embrasse ce Ciel des mille grâces envoûtantes.
L'hiver est suave chaleur de l'intimité que nous sommes à partager.
L'Ami corbeau, survolez de vos ailes L'Amitié naissante !
Suis-je à embrasser les instants que nos souffles avivent ?
Le Temps est l'océan que des vagues ont su déployer.
Remous puis sérénité en l’Étincelle d'une Etoile vive.
Depuis les nudités d'une saison profonde, je suis à vous soupirer.
Océan sans rivage
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