Blason de la ville de Lyon en 1830
Il est un Chant à L'Aube qui soupire et s'élève,
Embrassant des élixirs, les vagues opulentes.
Si tôt, après le combat mené avec un glaive,
Le Chant est L'égide d'une Cité jubilante.
En volute ondoyante, voici que La Fleur guerrière
Semble festoyer des victoires sur l'illusion.
Lors, dépose-t-il sur ce bouclier incendiaire,
Les Mille délicates pétales d'un cœur en fusion ?
Je l'ai entendu pleurer les joies de naguère,
S'étourdir de toutes sortes d'imprécations,
Dormir à la belle étoile, épousant la terre.
Qui est ce manant, quel est donc son mystère ?
N'est-il que poussière qui s'unifie à la poussière ?
Telle est son âme qui cherche l'orientation.
Océan sans rivage
Si tôt, après le combat mené avec un glaive,
Le Chant est L'égide d'une Cité jubilante.
En volute ondoyante, voici que La Fleur guerrière
Semble festoyer des victoires sur l'illusion.
Lors, dépose-t-il sur ce bouclier incendiaire,
Les Mille délicates pétales d'un cœur en fusion ?
Je l'ai entendu pleurer les joies de naguère,
S'étourdir de toutes sortes d'imprécations,
Dormir à la belle étoile, épousant la terre.
Qui est ce manant, quel est donc son mystère ?
N'est-il que poussière qui s'unifie à la poussière ?
Telle est son âme qui cherche l'orientation.
Océan sans rivage
Peinture de Bridget Bossart van Otterloo
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