Blason de Auvet-et-la-Chapelotte (Haute-Saône, Bourgogne-Franche-Comté)
Parti d'azur et d'argent au chevron le trait supérieur ployé, la pointe se terminant par une croisette tréflée et le trait inférieur ondé, accompagné de deux quintefeuilles d'argent chargées en cœur d'une étoile du champ, le tout de l'un en l'autre ; au briquet d'or enflammé de gueules brochant en pointe.
Lors que tout chanta en Ce Commencement sans fin.
Sans doute, de Lui nous naissons, et mourons aussi.
Sans doute, un jour nous saurons notre Nostalgie.
Je ne sais vivre pour moi, j'ai regardé mes frères.
Je n'ai pas su prendre, et je leur ai tout offert.
Des larmes ruissellent de notre profonde torpeur
Des douceurs qu'évoquent encore d'autres douceurs.
Il est un Jardin, et je n'ai pas su y entrer
J'ai préféré partir vers ceux que j'ai toujours aimé
En Lui, je le sais est ce grand Secret, et je pleure.
Qu'aurais-je à faire d'être en cet Ailleurs ?
C'est ici que je suis, et que tout commence.
A L'Instant, tout est en Sa pleine Souvenance.
Je n'ai pas su avancer, et c'est le seuil de Sa Grâce.
Prophète, est-ce le pas de ton empreinte vivace ?
Je T'aime et je demeure en cet instant.
Je sais bien que Tu viens nous chercher maintenant.
Toi, qui rejoins La Demeure du Bien-Aimé.
Il est certains secrets que peu sont à saisir,
Lors que le Sage se tait, il est aussi à parler.
Il n'est pas une de tes larmes qui ne soit soupir.
Océan sans rivage
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