Blason de Neudorf bei Passail (Styrie, Autriche)
Qu'est-ce qui dans notre paix couve et féconde la guerre ?
D'où naissent toutes ces hargnes qui répandent la terreur ?
Nous sommes à peine remis des horreurs de naguère
Que le monde, déjà, replonge dans les mêmes erreurs !
Une société fondée sur la concupiscence
Et qui donne libre cours à la cupidité
Devient funeste et fatale, sans résipiscence.
L'appétence n'est jamais loin de l'avidité
Dont les effets menacent la vie et la planète.
Les scientifiques disent qu'il sera bientôt trop tard,*
Sauf qu'ils ont déjà deux longueurs de retard.
Se pense-t-on pouvoir rester sur la sellette,
D'où naissent toutes ces hargnes qui répandent la terreur ?
Nous sommes à peine remis des horreurs de naguère
Que le monde, déjà, replonge dans les mêmes erreurs !
Une société fondée sur la concupiscence
Et qui donne libre cours à la cupidité
Devient funeste et fatale, sans résipiscence.
L'appétence n'est jamais loin de l'avidité
Dont les effets menacent la vie et la planète.
Les scientifiques disent qu'il sera bientôt trop tard,*
Sauf qu'ils ont déjà deux longueurs de retard.
Se pense-t-on pouvoir rester sur la sellette,
De poursuivre du passé les divagations
Sans que se déclenche la finale conflagration ?
Sans que se déclenche la finale conflagration ?
Frère Eugène
Respice finem : « Considère la fin. »
* Dans une lettre publiée le 13 novembre 2017 dans la revue BioScience, plus de 15 000 scientifiques sonnent l’alarme contre les dangers qui guettent l’humanité.
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