La Vie est un chérissement et nul ne peut venir au monde sans en saisir Son Questionnement, sans être touché par Sa Beauté.
Subtilité et pureté à ce qui nous est donné sans discontinuité. Effleurement au bout des pas, mots qui sont les perles du miracle incessant. Le soleil est dans le regard de L'Âme.
Celle-ci est semblable à une Lumière en Son Tabernacle. Point n'est besoin de se justifier, lors que ce qui est, l'est en Sa Réalité. Comment pourrions-nous nous détourner de Cela ?
D'aucuns pensent que la vie est pleine de paradoxes, de contradictions et même d'horreur. Cela est sans doute étrangement vrai. Mais, si nous ne sommes pas insensibles, nous ne sommes pas non plus dupes. Nous avançons en cette vie avec la réalité d'une Lune et d'un Soleil. Nous Le vivons jusqu'aux bout des doigts. Les mots sont nés de notre état, seconde après seconde. Les mots sont notre souffle et notre conscience. Nous ne jouons pas avec cette crucialité. Nous sourions.
Certes, nous sommes en ces perplexités, mais elles sont comme les regards perpétuellement hébétés. Le Regard s'étonne. Le Regard cherche. Le Regard scrute. Le Regard n'hésite pas à pointer L’Épée de Vérité. J'ai souvent dit : La Vérité n'a pas peur. Seul le mensonge détourne le Regard.
Nous sommes venus au monde bien avant d'être en cette conscience. Nous n'avons pas peur d'interroger La Vie, ni de la révérer à travers La Pensée et les mots qui effleurent L'Azur de notre Présence. Nous n'avons pas peur d'être, car La Vie est Apprentissage. Nous refuserions-nous à cette Beauté ? Non, mille fois non. Elle nous irradie de Sa Générosité et nous Enseigne. Nous avons fui le factice, ou bien a-t-il fui de lui-même ? Oui, certainement. Quelque part, nous ne voulions pas manquer Le Rendez-vous. Or, nous savons qu'il est un Rendez-vous. Le plus grand des Rendez-vous est de pouvoir sourire perpétuellement, de laisser toujours monter à nos yeux les larmes de La Miséricorde, les larmes de L'Origine. Elle est La Vie.
Peu importe où nous nous trouvons, ici, au bord du monde, dans une geôle, torturés, ou choyés : nous sommes Cela. Vierge, intact, Juste, Beau, Pur, imperturbable. Nous sommes exactement Cela ! Alors, Le Soleil brille en Son Perpétuel Printemps, car le cœur en a chaud. C'est ainsi ! Il se laisse voir. Il se laisse vivre. Il se laisse sourire. Il se laisse aimer.
Subtilité et pureté à ce qui nous est donné sans discontinuité. Effleurement au bout des pas, mots qui sont les perles du miracle incessant. Le soleil est dans le regard de L'Âme.
Celle-ci est semblable à une Lumière en Son Tabernacle. Point n'est besoin de se justifier, lors que ce qui est, l'est en Sa Réalité. Comment pourrions-nous nous détourner de Cela ?
D'aucuns pensent que la vie est pleine de paradoxes, de contradictions et même d'horreur. Cela est sans doute étrangement vrai. Mais, si nous ne sommes pas insensibles, nous ne sommes pas non plus dupes. Nous avançons en cette vie avec la réalité d'une Lune et d'un Soleil. Nous Le vivons jusqu'aux bout des doigts. Les mots sont nés de notre état, seconde après seconde. Les mots sont notre souffle et notre conscience. Nous ne jouons pas avec cette crucialité. Nous sourions.
Certes, nous sommes en ces perplexités, mais elles sont comme les regards perpétuellement hébétés. Le Regard s'étonne. Le Regard cherche. Le Regard scrute. Le Regard n'hésite pas à pointer L’Épée de Vérité. J'ai souvent dit : La Vérité n'a pas peur. Seul le mensonge détourne le Regard.
Nous sommes venus au monde bien avant d'être en cette conscience. Nous n'avons pas peur d'interroger La Vie, ni de la révérer à travers La Pensée et les mots qui effleurent L'Azur de notre Présence. Nous n'avons pas peur d'être, car La Vie est Apprentissage. Nous refuserions-nous à cette Beauté ? Non, mille fois non. Elle nous irradie de Sa Générosité et nous Enseigne. Nous avons fui le factice, ou bien a-t-il fui de lui-même ? Oui, certainement. Quelque part, nous ne voulions pas manquer Le Rendez-vous. Or, nous savons qu'il est un Rendez-vous. Le plus grand des Rendez-vous est de pouvoir sourire perpétuellement, de laisser toujours monter à nos yeux les larmes de La Miséricorde, les larmes de L'Origine. Elle est La Vie.
Peu importe où nous nous trouvons, ici, au bord du monde, dans une geôle, torturés, ou choyés : nous sommes Cela. Vierge, intact, Juste, Beau, Pur, imperturbable. Nous sommes exactement Cela ! Alors, Le Soleil brille en Son Perpétuel Printemps, car le cœur en a chaud. C'est ainsi ! Il se laisse voir. Il se laisse vivre. Il se laisse sourire. Il se laisse aimer.
Merci à tous ceux qui sont les Passants ici, ou ailleurs. Nous les saluons et leur souhaitons un bon Retour, en eux-mêmes.
Que La Paix soit sur La Terre comme aux Cieux !
Le voyage continue...
Océan sans rivage
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Rencontre et Unité
Merci à vous tous. Ce blog est extraordinaire. Merci pour la qualité de vos écrits. Que Dieu vous garde et vous donne encore à nous submerger aussi et à nous permettre ce temps d'arrêt. Bonne année 2018.
RépondreSupprimerSincèrement.
Michel.
Merci à vous Michel pour votre Présence. Nous vous souhaitons aussi Le Meilleur pour cette Année qui s'ouvre !
RépondreSupprimerBonne année 2018. Je suis de même que Michel à vous souhaiter mes vœux de réussite, à Marc et à Océan sans rivage ainsi qu'à Marie-Louise, Justine,Jean d'Armelin, Cochonfucius, Florian et Frédérique Martin,Mey, et je vous remercie pour tout ce que vous faites. Que Dieu vous bénisse!
RépondreSupprimerMerci Philippe pour votre Présence. Bonne Année 2018 à vous aussi. Vous êtes le bienvenu.
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