Blason de la Krasnoyarsk ensoleillée (Russie)
Je m’additionne et me soustrais, et puis me sème,
Des loques et des masques, quel putride combat !
Chaque un est son rêve, mais mon âme n'y consent pas.
Du nombre ombré de sang, veux me sauver moi-même.
Tel est le langage d'un persifleur qui d'Amour,
Ne connaît certes pas le chant des abeilles.
Lors que La Licorne, à l'orée du bois s'émerveille,
Est-ce un cœur qui au ciel ploie et bat du tambour ?
Quel est-il qui de douceur encore peine,
Vers la rivière au sentier éternel de nos pluies ?
Des frémissements des courbures de nos douces nuits,
Respire les incandescences de notre plaine.
C'est un Être d'or, un Être pur né de notre Union
Je Le rencontre encor ce cœur aux mille floraisons.
Océan sans rivage
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