Blason de Fusca des Rouvraies
Ce Lundi, tu as décidé de te reposer.
De profiter une dernière fois de cette vie de chat que tu as mené avant ton repos éternel.
De partir sur le moelleux du canapé, accompagné de tes doux et délicats ronrons.
La première fois que je t’ai vu, je passais rapidement boire un café.
Je t’ai trouvé curieux et pas ordinaire. Je dirais une tendresse sincère.
J’ai directement accroché avec toi. J’étais en confiance et j’appréciais ta présence.
Les années passèrent, et j’ai eu la chance de vivre à tes côtés, de t’accompagner, de croiser ta route.
J’ai aimé nos moments, j’ai aimé ta tendresse, j’ai aimé ta présence, j’ai aimé ta bienveillance.
J’entends encore ton ronron long et délicat. Ton excitation incontrôlable dès que l’on te caressait trop longtemps. Tes miaulements pour nous remercier de notre amour, de nos caresses.
J’ai par-dessus tout aimé ton écoute et ta résilience sur les choses de ta vie. Tu n’as jamais changé malgré tes problèmes. Tu es resté le même, câlin et sincère. Parfois têtu comme lorsque tu décidais de sortir ou d’avoir ton précieux pâté. Mais je garderais pour toujours ce regard, tes yeux ronds comme des billes pour m’apprivoiser et obtenir ce que tu voulais. Sache que j’ai aimé ta sincérité.
Je pourrais parler des heures sur ta personne. Ce fut un énorme plaisir, un bonheur immense de te servir, de t’aimer, de t’accompagner.
Tu restera Big Boy, Gros, mon Pépère pour l’éternité.
Nous garderons ta souris que tu aimais tant nous offrir chaque jour, comme ton dernier cadeau, tes derniers remerciements à notre égards pour cette vie.
Profite de ton repos, mon ami.
De profiter une dernière fois de cette vie de chat que tu as mené avant ton repos éternel.
De partir sur le moelleux du canapé, accompagné de tes doux et délicats ronrons.
La première fois que je t’ai vu, je passais rapidement boire un café.
Je t’ai trouvé curieux et pas ordinaire. Je dirais une tendresse sincère.
J’ai directement accroché avec toi. J’étais en confiance et j’appréciais ta présence.
Les années passèrent, et j’ai eu la chance de vivre à tes côtés, de t’accompagner, de croiser ta route.
J’ai aimé nos moments, j’ai aimé ta tendresse, j’ai aimé ta présence, j’ai aimé ta bienveillance.
J’entends encore ton ronron long et délicat. Ton excitation incontrôlable dès que l’on te caressait trop longtemps. Tes miaulements pour nous remercier de notre amour, de nos caresses.
J’ai par-dessus tout aimé ton écoute et ta résilience sur les choses de ta vie. Tu n’as jamais changé malgré tes problèmes. Tu es resté le même, câlin et sincère. Parfois têtu comme lorsque tu décidais de sortir ou d’avoir ton précieux pâté. Mais je garderais pour toujours ce regard, tes yeux ronds comme des billes pour m’apprivoiser et obtenir ce que tu voulais. Sache que j’ai aimé ta sincérité.
Je pourrais parler des heures sur ta personne. Ce fut un énorme plaisir, un bonheur immense de te servir, de t’aimer, de t’accompagner.
Tu restera Big Boy, Gros, mon Pépère pour l’éternité.
Nous garderons ta souris que tu aimais tant nous offrir chaque jour, comme ton dernier cadeau, tes derniers remerciements à notre égards pour cette vie.
Profite de ton repos, mon ami.
Frédéric de Campos
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