Marchant comme hébétées, la flamme et l’allégresse ;
La rose est une lance ; bien meurtri est ce cœur,
N’ayant de l’inframonde qu’un instant de douleur ;
Mais pourquoi les hommes vivent cette détresse ?
La rose est une lance ; bien meurtri est ce cœur,
N’ayant de l’inframonde qu’un instant de douleur ;
Mais pourquoi les hommes vivent cette détresse ?
D’Azur, le monstre s’échappe et poursuit une chimère ;
Par l’enfant immature, la corde est rompue mille fois.
Où donc s’en va mon âme brisée dans le fracas ?
Le bateau ivre tangue et je n’ai plus de lumière.
Ces rimes connaissent une fin pleine d’amertume.
Le monde a dénié d’entrer à la lueur du flambeau :
La jeunesse trépigne, la vieillesse tombe de haut.
Ces rimes impromptues sont lancées telle une écume,
Lors que la nef sombre et le bois hurle de terreur.
L’océan a pris forme en ces heurts et malheurs.
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