Je me suis languie dans les plaines de la solitude,
Et La clarté a offert à mes pas, cette certitude :
Il n'est pas une seule gravité qui ne soit mon lit de mort !
C'est en cette pleine pensée que se révèle L'Athanor.
Des batailles menées, et des larmes versées en Ton Ciel.
Les ondes éveillent notre réalité qui se veut Te rejoindre.
Est-ce encore mon corps qui gît sur les cimes Révérencielles ?
Des heures qui ont ennobli les silences d'une vénérée étreinte.
Sous un Arbre qui se veut recueillir nos souffles hébétés,
Et les suppliques que l'on ose à peine dévoiler,
Voici encore cette seule crucialité que Ta Bonté nous révèle.
Drapée des couleurs du firmament et de notre Alliance,
Je ne suis plus que ce Regard qui plonge en L'Originel.
Puissions-nous courir sur le sentier de La Clairvoyance.
Les Ruissellements de Ta Vigne sont les grappes de Ton Aspiration.
Des Créations successives et les couloirs de nos possibilités.
Voici ce qui rend à la fugacité du moment Son Éternité.
Ce sont les ponts jetés en ces rives qui sont La Cristallisation.
Des rubis de Ton Joyau ivre de notre Union Éthérée,
Lors que L'Amour est une Perle suspendue à L'Océan de Tes vagues,
Voici les écumes du vent immaculé que visitent mille Anges,
Le Couronnement des précieuses Beautés de La Force d'aimer.
Je suis à déplier les parchemins du Temps, et je brandis cette chair grenade,
Dans les secrets des mots avivés en La profondeur d'une Louange,
Lors que La Prophétie annoncée par L'Archange est au seuil du Palais.
Les Chevaliers sont à attendre le signe d'une Manifestation sublimée.
C'est en cette incandescence que Le Collier de nos cœurs est à s'unifier,
C'est par notre Foi, que mille Lumières jaillissent de L'Espace Vénéré.
Ne sont-ce pas alors Les nouvelles d'un Roi que nous sommes à magnifier ?
Océan sans rivage
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