Peinture de Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875)
Cher Frère,
Comme est loin l'opacité de mon esprit,
Comme est loin la douleur de l'ignorance !
Les cieux s'ouvrent de sphères en sphères
Et les mots enlacent la Quintessence
Puis s'unifient à la chair de L'Essence,
Quand le corps soudain, émancipé de sa nuit,
S'allège et compénètre les éléments subtils.
De longues méditations en la caverne
Plient les distances de mes lourdeurs.
Un Instant, et l'hébétude me traverse,
Des larmes de profusion inondent mon cœur.
L'Aube a vu poindre Le Soleil de mes pensées,
Voici que Le Mystère s'est inversé.
Nul ne peut comprendre cette Réalité.
Cependant, m'en voilà tout émerveillé :
Le Mystère Divin est Le Mystère de L'Homme.
L'Homme à L'Image de Dieu est Sa Conscience
Rendue manifeste, déployée en La Connaissance.
L'Intelligence se suspend à L'Être Hébété.
De cet Étonnement, s'offre La Coupe !
Ainsi, les premiers rayons du Jour sont en cette Apothéose.
Frère Eugène, riez ! L'Exaltation que nous cherchions en ce Vin,
Est Le Désir de L'Âme qui s'envole vers L'Attraction Ultime !
Des abstractions d'une Eau Primordiale, Le Chemin est tracé,
Et L'Eau devient Éthérée de L'Intention d'Origine.
Ô Voûtes Célestes qui sont les coupoles de L'Intelligence,
La Victoire est cette Jubilation de L'Esprit qui survole,
Puis rejoint par anticipation, L'Ailleurs.
Frère Eugène, prochainement, je vous conterai
Les Étapes de La Pureté d'un Voyage.
Que vous en semble, cette pureté est L'Intention !
Un jour, elle trouve Le Nom en Sa Lancée !
Puis chaque chose se lie à ce qui est relié.
Trouvez en mon souvenir, ma permanente présence.
Compagnon fortuné ! En ce Lieu, nul n'est séparé !
Comme est loin l'opacité de mon esprit,
Comme est loin la douleur de l'ignorance !
Les cieux s'ouvrent de sphères en sphères
Et les mots enlacent la Quintessence
Puis s'unifient à la chair de L'Essence,
Quand le corps soudain, émancipé de sa nuit,
S'allège et compénètre les éléments subtils.
De longues méditations en la caverne
Plient les distances de mes lourdeurs.
Un Instant, et l'hébétude me traverse,
Des larmes de profusion inondent mon cœur.
L'Aube a vu poindre Le Soleil de mes pensées,
Voici que Le Mystère s'est inversé.
Nul ne peut comprendre cette Réalité.
Cependant, m'en voilà tout émerveillé :
Le Mystère Divin est Le Mystère de L'Homme.
L'Homme à L'Image de Dieu est Sa Conscience
Rendue manifeste, déployée en La Connaissance.
L'Intelligence se suspend à L'Être Hébété.
De cet Étonnement, s'offre La Coupe !
Ainsi, les premiers rayons du Jour sont en cette Apothéose.
Frère Eugène, riez ! L'Exaltation que nous cherchions en ce Vin,
Est Le Désir de L'Âme qui s'envole vers L'Attraction Ultime !
Des abstractions d'une Eau Primordiale, Le Chemin est tracé,
Et L'Eau devient Éthérée de L'Intention d'Origine.
Ô Voûtes Célestes qui sont les coupoles de L'Intelligence,
La Victoire est cette Jubilation de L'Esprit qui survole,
Puis rejoint par anticipation, L'Ailleurs.
Frère Eugène, prochainement, je vous conterai
Les Étapes de La Pureté d'un Voyage.
Que vous en semble, cette pureté est L'Intention !
Un jour, elle trouve Le Nom en Sa Lancée !
Puis chaque chose se lie à ce qui est relié.
Trouvez en mon souvenir, ma permanente présence.
Compagnon fortuné ! En ce Lieu, nul n'est séparé !
Frère Maurice
Blason de Bomlitz (Basse-Saxe, Allemagne)
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