Blason de Paris
De gueules à la nef équipée et habillée d'argent voguant sur des
ondes du même mouvant de la pointe, au chef d'azur fleurdelysé d'or.
Le cœur bat au rythme de L'Univers en cet Accord
Des flots nues, je ne sais plus vraiment ce qui est,
Lors que ce point est tel un testament des corps,
Puis des décences de Ton Regard en onde qui naît.
Oserai-je la vie qui se promène en son cortège,
Oserai-je flâner sur les quais de mes pas affermis ?
Des volutes du Ciel et de doux florilèges ?
Paris irréel se promène des songes de ma nuit.
Lors que les yeux interrogent, il n'est plus de passants.
Tous se sont évanouis et je garde en mémoire L'Instant,
Sous les toits d'une étrange vie, les ruines qui soupirent.
J'avance sans faire un seul mouvement, Le Souffle
S'unifie au Temps. C'est là que je suis, sans désir.
L'Azur des éléments, et le cœur s'essouffle.
Océan sans rivage
Des flots nues, je ne sais plus vraiment ce qui est,
Lors que ce point est tel un testament des corps,
Puis des décences de Ton Regard en onde qui naît.
Oserai-je la vie qui se promène en son cortège,
Oserai-je flâner sur les quais de mes pas affermis ?
Des volutes du Ciel et de doux florilèges ?
Paris irréel se promène des songes de ma nuit.
Lors que les yeux interrogent, il n'est plus de passants.
Tous se sont évanouis et je garde en mémoire L'Instant,
Sous les toits d'une étrange vie, les ruines qui soupirent.
J'avance sans faire un seul mouvement, Le Souffle
S'unifie au Temps. C'est là que je suis, sans désir.
L'Azur des éléments, et le cœur s'essouffle.
Océan sans rivage
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