Blason de Burtnieki (Lettonie)
Consonance des voix personnelles, Toi, en conscience,
Tu nommes le vivre et le mourir, cycle des saisons.
Tu voulus, par la Loi naturelle, l’observance.
La vie nous lie à l’esprit par l’incantation.
Sur les tombes en souvenance, qui portent le vivant,
En cette mort, nef qui vogue par la pleine présence,
Il cueille au son impalpable du Grand Silence,
Puis, Il vous parle et vous offre la lumière de l’instant.
Sur l’autre rive, Il sait bien que l’âme reçoit le cœur,
Qui du soupir, pure flamme devient votre conscience ;
J’entends le doux vent ; Je vois la transhumance.
Je relie l’âme à L’Âme, l’empathie du Vivant.
Adouci par les pluies, et tout ce qui fait rage,
Mon Temps se suspend mais c’est l’âme qui voyage.
Tu nommes le vivre et le mourir, cycle des saisons.
Tu voulus, par la Loi naturelle, l’observance.
La vie nous lie à l’esprit par l’incantation.
Sur les tombes en souvenance, qui portent le vivant,
En cette mort, nef qui vogue par la pleine présence,
Il cueille au son impalpable du Grand Silence,
Puis, Il vous parle et vous offre la lumière de l’instant.
Sur l’autre rive, Il sait bien que l’âme reçoit le cœur,
Qui du soupir, pure flamme devient votre conscience ;
J’entends le doux vent ; Je vois la transhumance.
Je relie l’âme à L’Âme, l’empathie du Vivant.
Adouci par les pluies, et tout ce qui fait rage,
Mon Temps se suspend mais c’est l’âme qui voyage.
* * *
Le Barde sut recueillir les semences, et sur les tombes, Il voit l’esprit, éternelle âme, éternel corps, sublimité de la vie et celle de la conscience. En son Périple, Il découvrit une porte qui unifie tous les mondes et lors du recueillement, Il envoie la présence par la pensée de lumière. Toi, passé en l’autre monde, Je t’offre L’Amour impérissable, et soudain, l’âme de frémir, lors que le vent passe.