En moi je t'ai reconnu
– C'est aussi ce qui m'anime
Depuis L'Origine, je t'ai vu
– Notre Regard fut Sublime
Des Flots argentés sur l’Étrange Cime
– Les couleurs lumineuses de Ton Humanité
Les ondes dansaient en ces élans ultimes
– Les Eaux de La Resplendissante Majesté
Nous avons vu les Lumières ondoyantes
– Te souviens-tu de ces éloges de La Présence ?
Nos étreintes en cette Rencontre Transcendante
– Les mains jointes et nos larmes de Reconnaissance
Les yeux s'abreuvent de nos corps éthérés
– L'Âme est à tournoyer des effluves de L'Insondable
Nos pas nous ont mené jusqu'au Jardin Secret
Le rêve devenu Réalité Remarquable
– En ce Pont de L'Êtreté, lors qu'une Porte s'ouvre
L'Azur s'invite à L'Aube de La Roseraie d'Amour
– Nos cœurs s'unissent en La Source qui nous approuve
Mille Lumières en Ce Centre du plus délicat Velours
– Ô L'Amie d'une autre Rive, nous sommes ce Lieu
Et plus encore, lors que tous deux nous marchons
– Précieux instants qui se fécondent et s'offrent
L'Ami, nos Mondes s'unissent en cette Oraison
– Le Ciel est heureux des Joyaux d'un insolite Coffre
En Lui les Trésors les plus fabuleux, nous sommes ivres
– Des joies qui se veulent entière Fraternité
Ô douceur qui n'a pas de prix, et qui nous donne à vivre
– Des effleurements de La Pensée qui sont Virginales Beautés
En moi je t'ai reconnu, dès lors puis-je t'oublier ?
Mon frère, allumons ce Flambeau de L'Azuré
– Révérence en ce Pont où nous sommes Deux à danser.
Naïla
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D'azur au pont d'argent en dos d'âne d'une arche maçonné de sable sur une rivière d'argent, surmonté d'un cœur de gueules lui-même surmonté d'un soleil d'or.