Décryptage et Revalorisation de L'Art de L’Écu, de La Chevalerie et du Haut Langage Poétique en Héraldique. Courtoisie, Discipline, Raffinement de La Conscience, état de Vigilance et Intention d'Unicité en La Fraternité d'un Nouveau Monde !

dimanche 3 mai 2020

La croix en héraldique (2)



     Quand il est demandé au chrétien de méditer sur la croix, cela peut, en fait, recouvrir deux aspects : il y a, d’une part, la figure sacrificielle du crucifié qui, selon la doctrine admise et fondamentale (en ce qu’elle conditionne et détermine toute la foi chrétienne) meurt d’une manière infamante pour le rachat des péchés ; d’autre part, et au-delà de toute considération sur l’historicité du fait lui-même, la figure du crucifié revêt également une valeur allégorique, en ce qu’elle devient la figure archétypale de l’homme écartelé entre sa réalité proprement existentielle, dans un monde linéaire, soumis à l’impermanence, et sa réalité proprement ontologique ou métaphysique, car son âme aspire profondément et irrépressiblement à un au-delà de cette condition. En quelque sorte, il désire passer d’une condition instable, passante et éphémère à un état stable et durable. La finitude lui donne à chercher l’infini et la temporalité lui donne à vouloir l’éternité, d’abord appréhendée comme une pérennité de la forme. Cette première acception du symbole de la croix s’établit ainsi sur deux niveaux mais sans ne concerner jamais que la réalité du méditant lui-même, se percevant encore comme un ego intrinsèque, c’est-à-dire se trouvant dans un état de séparation d’où naissent les sentiments de solitude, au sens d’esseulement, et donc de perdition, au sens de ne comprendre ni le sens de son existence (sa raison d’être au monde), ni celui de son être. Tout passe, tout m’échappe, je suis seul et perdu au milieu d’un univers dont je ne comprends pas le pourquoi. Cette ignorance engendre la souffrance qu’il cherchera à conjurer par des stratégies compensatoires, autrement dit l’illusion (la Maya de l’Hindouisme).

     La seconde acception du symbole de la croix est d’ordre cosmogonique. Ici, la figure, déconnotée de toute subjectivité, revêt la valeur du mandala, c’est-à-dire d’une image de recentrage et donc d’unité, organisée autour d’un point central et qui figure la représentation symbolique du monde et de l’univers, tant intérieurs qu’extérieurs. En héraldique, la croix représente une pièce honorable formée de la réunion du pal (la partie verticale) et de la fasce (la partie horizontale), la plus courante étant la croix alésée dite aussi grecque, c’est-à-dire dont les branches ont la même longueur et qui se croisent en leur milieu. Contrairement à la croix latine (ou crux immissa), la forme de la croix grecque représente davantage l’universalité du symbole.

     La branche horizontale représente le monde extérieur et unidimensionnel de la linéarité, c’est-à-dire de la temporalité et de l’impermanence ; la branche verticale représente le monde intérieur pluridimensionnel de l’atemporalité et de la permanence ; le point central représente la croisée des deux plans et, de fait, leur unité. Le sens même de la croix c’est la croisée, c’est-à-dire le point d’union et d’unité. C’est aussi définir le centre. C’est ce point qui focalise le regard du méditant et tout l’y ramène sans cesse. Un point sans mesure mais l’étalon de toutes les aunes. Et c’est là, réellement, que s’ouvre le mystère de la croix…


Note : Le chrisme, dit aussi croix de Constantine, qui représente les lettres grecques chi (X) et rhô (P) pour Christ (avec sa variante I (iota) et X (chi) pour Jésus Christ, apparaît comme une croix tridimensionnelle vue en perspective : les quatre branches formant un sautoir indiquant les quatre directions cardinales (l’orient, le midi, l’occident et le septentrion) et les deux branches verticales indiquant les deux directions sidérales (le zénith et le nadir). Dans ce sens, pourrait-on dire, l’universalisme du symbole de la croix serait davantage marqué par cette figure-là.

Le chrisme peut parfois se confondre avec le symbole astrologique du sextile, c’est-à-dire l’écart de 60 degrés entre deux astres, un astre avec un luminaire, une cuspide d’angle ou entre un astre et une maison cadente (d’apprentissage) ou succédente (de soutien). Un sextile exact met en relation deux facteurs astrologiques situés dans des signes de nature élémentaire complémentaire. Selon la Tradition, le sextile est un aspect d’harmonie modérée.

Quand Lanza del Vasto a conçu la croix emblématique de la Communauté de l’Arche, il s’est inspiré du récit de la Genèse et plus précisément de la Chute, c’est-à-dire de la séparation et de l’extraversion (projection exclusive dans le monde extérieur). L’état d’unité originelle, symbolisé par le cercle, se trouve éclaté, donc décentré et c’est la croix qui va redonner un centre aux morceaux épars.

1. Unité originelle  2. Éclatement  3. Extraversion  4. Recentrement  5. Forme allégée

En héraldique, la croix est l'un des symboles les plus variants, soit par ses déclinaisons diverses (voir La croix en héraldique 1), soit à travers des compositions d'autres meubles posés en croix.


Réville
(Manche, Normandie)
De gueules à la croix alésée d'argent pommetée de trois pièces d'or à chaque extrémité.

Saint-Viaud
(Loire-Atlantique, Pays de la Loire)
D'or à la croix de sable, chargée sur les quatre bras d'un cordon de Saint Vital d'argent.

Avocourt
(Meuse, Lorraine)
De gueules à la fontaine du lieu d'or sommée d'une croix du même, jaillissant de trois jets d'argent, soutenue par deux plumes d'argent les rachis passés en sautoir et accostée en chef de deux vases antiques sigillés d'or.

Gardanne
(Bouches-du-Rhône, Provence)
D'azur, au grand A, sommé d'une croix haussée et fleuronnée, accostée en fasce
de deux roses et soutenue en pointe des deux lettres G et A, le tout d'or.

Le Doulieu
(Nord, Hauts-de-France)
De gueules au sautoir de vair.

Nomeny
(Meurthe-et-Moselle, Lorraine)
D'azur à la croix recroisetée d'or, la branche du chef de deux pièces.

Auradé
(Gers, Occitanie)
D’azur à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d’or,
cantonnée en chef de deux étoiles du même.

Barlest
(Hautes-Pyrénées, Occitanie)
D'azur au pal engrêlé d'argent, à la croix du même brochant sur le tout.

Bartrès
(Hautes-Pyrénées, Occitanie)
D'azur à la croix latine tréflée d'or, chargée au pied de la lette B capitale de sable, accompagnée en chef de deux étoiles aussi d'or.

Chis
(Hautes-Pyrénées, Occitanie)
D'azur à la croix latine d'argent sommant un mont de sinople.

Cizos
(Hautes-Pyrénées, Occitanie)
De gueules à neuf billettes d'argent ordonnées en croix, cinq posées en pal,
deux à chaque flanc posées en fasce, le tout surmonté d'une étoile du même.

Berandets-Debat
(Hautes-Pyrénées, Occitanie)
De gueules à la croix alésée aux extrémités pattées d'or chargée 
d'une croix alésée d'azur surchargée en cœur d'une croisette d'argent.

Dominois
(Somme, Picardie)
De sable à la croix ancrée d'or.

Lutz-en-Dunois
(Eure-et-Loir, Centre-Val de Loire)
De sinople au calvaire du lieu au pied duquel broche une église de sable,
et accolé de 2 épis de blé tigés et feuillés d'or.

Marainville-sur-Madon
(Vosges, Lorraine)
De gueules à la roue de char celte d'or, le moyeu d’argent, accostée de deux clefs de sol d'argent; au chef triangulaire, ondé et cousu d'azur, chargé d'une croisette fleuronnée d'or.

Mareuil
(Somme, Picardie)
D'or à la croix d'azur.

Neuvéglise
(Cantal, Auvergne)
De gueules à la croix tréflée vidée d’argent.

Sainte-Croix-en-Plaine
(Haut-Rhin, Alsace)
D'azur à la croix haussée tréflée au pied fiché d'argent, deux crosses d'or 
affrontées, futées d'argent, passées en sautoir et brochant sur le tout.

Croix-Valmer
(Var, Provence)
Parti : au premier de gueules à la croix perronnée d'argent au sommet émoussé, au second d'azur au rocher sommé d'un pin, le tout d'argent ombré de sable, adextré d'une mer aussi d'azur, agitée de sable ; le tout sur une champagne d'azur chargée de deux voiles triangulaires d'argent rangées en bande, celle de la pointe plus grosse.


Le Grand-Pressigny
(Indre-et-Loire, Centre-Val de Loire)
Gironné d'or et d'azur, au pal brochant contrepalé d'azur et d'or de quatre pièces, à la fasce brochante contrefascée d'or et d'azur de quatre pièces, sur le tout: de gueules à la croix d'argent chargée d'une moucheture d'hermine de sable en chef.

Le Val-de-Gouhenans
(Haute-Saône, Bourgogne-Franche Comté)
Tranché de gueules et d'or, à la croix pattée de sinople 
brochant sur le tranché et remplie de l'un en l'autre.

Morschwiller
(Bas-Rhin, Alsace)
De gueules au monde d'argent, cerclé, cintré et croiseté du même.

Rouvrois-sur-Othain
(Meuse, Lorraine)
D'or à la branche de cinq feuilles de chêne de gueules posée en pal, fruitée 
de quatre pièces d'argent réunies en abîme ; à la champagne ondée d'azur.

Tarare
(Rhône, Auverne-Rhône-Alpes)
D'or à la croix ancrée de gueules, cantonnée de quatre losanges de sable.

Oisemont
(Somme, Picardie)
D'argent à la croix pattée alésée de gueules.

Attignat
(Ain, Rhône)
D'azur à la croix tréflée d'argent; à la bordure de sable chargée de dix besants d'or.

Loyettes
(Ain, Rhône)
D'azur au lys de jardin au naturel, au chef d'or chargé d'une croisette potencée de sable.

Montluel
(Ain, Rhône)
Parti d'azur et de sable, à la croix tréflée d’argent brochant sur la partition. 

Esley
(Vosges, Lorraine)
D'argent à la croix pattée et alésée de gueules, au besant de même brochant en cœur.

Léguillac-de-Cercles
(Dordogne, Nouvelle-Aquitaine)
De gueules au bois terrassé de sinople inscrit dans un cercle en filet d’or, 
au chef du même chargé d’une croisette tréflée du champ.

La Chapelle-Gauthier
(Seine-et-Marne, Ile-de-France) 
Parti de sinople et d’argent à la croix ancrée alésée de l’un en l’autre,
au chef d’azur semé de fleurs de lys d’or.

Mousson
(Meurthe-et-Moselle, Lorraine)
D'argent à la croix d'azur semée de croisettes recroisetées au pied fiché d'or.

Querrien
(Finistère, Bretagne)
De sinople à un épi de blé d'or issant de la pointe accosté de deux pals ondés d'argent, au chef de même chargé d'une croix celtique de sinople mouvant du trait du chef, accostée de deux mouchetures d'hermine de sable.

Villers-l'Hôpital
(Pas-de-Calais, Hauts-de-France)
De sinople à la croix engrêlée d'argent, à l'écusson du champ
chargé d'une croix de Malte de gueules brochant sur le tout en abyme.

Arzano
(Finistère, Bretagne)
De gueules à la croix endentée d'argent, chargée en chef d'une moucheture d'hermine de sable soutenue d'un croissant du champ, chargée aussi en abîme d'un lion léopardé d'azur armé et lampassé aussi de gueules, et cantonnée en chef de deux mâcles d'or.

Coat-Méal
(Finistère, Bretagne)
D'or, chargé en chef d'une tour ouverte et ajourée du champ, accompagnée de deux mouchetures d'hermine, le tout de sable et de même hauteur. A la pile, parti d'azur et de sinople. Sur le tout un calvaire issant de la pointe.

Lanrivoaré
(Finistère, Bretagne)
De sinople à l'était abaissé d'or sommé d'une croisette du même, accompagné de sept besant d'or également ordonnés en orle et chargés chacun d'une moucheture d'hermine de sable.

Coray
(Finistère, Bretagne)
D'azur à la croix latine gironnée d'or et de sable, 
au chef ondé d'or meublé de trois mouchetures d'hermine.

Plouigneau
(Finistère, Bretagne)
De sinople à la croix celtique alésée d'or.

Béganne
(Morbihan, Bretagne)
D’argent à la filière de gueules, au chef d’azur brochant, à la croix 
 pattée de sable alésée et au pied fiché brochant sur le tout.

La Chapelle-Gaceline
(Morbihan, Bretagne) 
Écartelé : au un d’hermine, au deux de sinople au chêne arraché d’or, au trois d’argent à une église d’or ouverte et ajourée de gueules, au quatre d’argent à trois pals d’azur, sur le tout de gueules à la croix alaisée d’argent gringolé d’or. Conc. J.B. Thierry.

Boissy-l'Aillerie
(Val-d'Oise, Ile-de-France)
Parti : de sinople à la croix ancrée d'or ajourée du champ, à la bordure crènelée de neuf pièces aussi d'or, maçonnée de sable, ouverte de quatre portes du champ, deux en pointe, deux aux flancs, au chef de gueules brochant sur la bordure, chargé d'un clou de la Passion d'argent accosté de deux bouquets de buis d'or, soutenu d'une devise ondée aussi d'argent.

Le Perrier
(Vendée, Pays de la Loire)
De sinople à la fasce ondée d'argent sur laquelle est posée une yole et ses deux passagers, maraîchine assise et maraîchin (habitants du marais) ninglant (guidant d'une perche), le tout d'argent, accompagnée en pointe d'une croix fleurdelysée d'or.

Le Poiré-sur-Vie
(Vendée, Pays de la Loire)
D'azur à la bande d'argent, accompagnée en chef d'une chapelle d'argent, maçonnée
 de sable, en perspective, portail à senestre, et en pointe d'une fleur de lys d'or.

Rocheservière
(Vendée, pays de la Loire)
De gueules à la croix partie d'or et de sable.

Saint-Sulpice-le-Verdon
(Vendée, Pays de la Loire)
De sinople à la croix haussée alésée fleurdelysée d'or, cantonnée en
chef à dextre d'un lion du même, lampassé, armé et couronné de gueules.

Beaufou
(Vendée, Pays de la Loire)
D'argent au chevron d'azur chargé de sept fleurs de lis d'or posées à plomb, accompagné en chef à dextre d'un hêtre de sinople, en chef à senestre d'une croisette pattée de sable et en pointe d'un cœur croiseté de gueules.

Saint-Benoist-sur-Mer
(Vendée, Pays de la Loire)
D'azur à la croix haussée d'or, enhendée en chef et aux flancs, perronnée d'un degré en pointe, cantonnée au premier d'un buste de saint Benoît issant de la traverse, au deuxième d'une poignée de quatre trèfles tigés, au troisième d'un lapin contourné assis sur une terrasse isolée fumant la pipe, au quatrième d'un bateau à voile contourné voguant vent debout, le tout d'or.



Guernessey
(Iles anglo-normandes, Grande-Bretagne)

Knollys de Stanford et comte de Banbury
(Angleterre)

Abingdon
(Oxfordshire, Angleterre)

Waltham Abbey
(Essex, Angleterre)

Bad Pyrmont
(Basse-Saxe, Allemagne)

Abbaye de Heiligenkreuz
(Autriche)

Abbaye de Neuzelle
(Brandebourg, Allemagne)

6e arrondissement de Budapest
(Hongrie)

Stadtlauringen
(Bavière, Allemagne)

Segeberg
(Scheswig-Holstein, Allemagne)

Confrérie de l'Arche du Saint-Esprit 
(XII-XVe siècles)

Anglonas
(Lettonie)

Assmannshausen
(Hesse, Allemagne)

Aukrug
(Schleswig-Holstein, Allemagne)

Evêché de Würzburg
(Bavière, Allemagne)

Blason de l'évêque irlandais William Walsh (1935- )
évêque émérite de Killaloe depuis 2010

Blason de Mgr Eamon Martin (1961- )
 archevêque coadjuteur du diocèse irlandais d'Armagh depuis 2013

Lüganuse valla
(Estonie)

 

(blason féminin)


Büchel (Rhénanie-Palatinat) et Bredelem (Basse-Saxe, Allemagne)

Bürstadt (Hesse) et Ditzingen (Bade-Wurtemberg)

Goddelau et Hersfeld-Rotenburg (Hesse, Allemagne)

Impflingen (Rhénanie-Palatinat) et Karsbach (Bavière)

Esthal (Rhénanie-Palatinat) et Neutsch (Hesse)

Kiekebusch (Brandebourg) et Kosel (Schleswig-Holstein)

Klein-Rohrheim et Langensebold (Hesse)

Obereisenhausen et Ransbach-Hohenroda (Hesse)

Retzau (Saxe-Anhalt) et Silberborn (Rhénanie du Nord-Westphalie)

Salzgitter-Hallendorf et Barum (Basse-Saxe)

Williche (Rhénanie du Nord-Westphalie) et Womrath (Rhénanie-Palatinat)

Wahmbeck (Basse-Saxe) et Scheyern (Bavière)

Göriach (Autriche) et Botenheim (Bade-Wurtemberg, Allemagne)

Braunschweig-Broitzem (Basse-Saxe) et Elmstein (Rhénanie-Palatinat)

Zvolen et Žilina (Slovaquie)

Midtre Gauldal et Trøndelag (Norvège)

Vestby et Røyrvik (Norvège)

Rogaland etTrøndelag (Norvège)

Norske kirkes Møre-og et Romsdal (Norvège)

Karinainen et Kruunupyy (Finlande)

Lemun et Mellilä (Finlande)

Töysä et Mustasaari (Finlande)

Sulva et Simo (Finlande)

Nastola et Kortesjarvi (Finlande)

Šurany et Žiar nad Hronom (Slovaquie)

Trnavá Hora et Horný Lieskov (Slovaquie)

Kusín et Liptovská Štiavnica (Slovaquie)

Dolné Srnie, Pocarová et Svätý Kríž (Slovaquie)

Cortaillod-Neuchâtel (Suisse) et Donegal (Irlande)

Halliste valla (Estonie) et Heiligenkreuz (Burgenland, Autriche)

Heiligenkreuz et Heiligenkreuz-am-Waasen (Styrie, Autriche)

Croix de Jérusalem et de l'Ordre du Saint-Sépulcre

Centre de Formation de Kohila (Estonie) et Kalnciems (Lettonie)

Kadolec et Daleké Dušníky (Tchéquie)

Vinnytsya (Ukraine)

Pelym et Khokholsky (Russie)

Promyshlinsky-district et Dmitrovskoye Shatursky (Russie)

Budyonnovsk et Bogdanovich (Russie)

Lopandinskoe, Kupinsky, Kirsky et Kantemirovsky (Russie)

Drapeau du comté de Kekubrishir (Kirkcudbrightshire) en Écosse (croix de Saint-Cuthbert)

Drapeau du comté historique anglais de Durham

Drapeau de Bratskoe (Russie)

Drapeau de Maloivanovskoe (Russie)

Drapeau de Promyshlennovsky (Russie)

Drapeau de Tatarsky (Russie)

Drapeau de Semyonovsky (St-Petersbourg, Russie)

Drapeau de Norvash-Shigalinskoe (Tchouvachie, Russie)

Drapeaux de Teryaevskoe et de Vakhnovokarskoe (Russie)

Tyrosèmes

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