Drapeau de Horlivka (Ukraine)
Il est une Joie qui pépie aux heures de l'été,
Et quel étonnement, lors que le merle est là,
Sur des cimes que l'on caresse du bout des doigts.
La gorge s'ébaubit de douceur sécrétée.
La fauvette parfois prend le relais du merle.
Sans doute son chant rend plus éthéré le ciel,
De gratitude, au secret du regard, une perle.
A une prière, au silence des mots, un Appel.
Soudain, c'est aux étoiles que l'âme s'adresse :
Qu'en est-il des souvenirs qui ne sont plus qu'Un ?
Faut-il balayer, Ô Oiseau toute notre détresse ?
Qu'en est-il, Ô Vie de cette harmonie sans fin ?
Le merle s'élance en volute : qu'en est-il de mon cœur,
Lors qu'en cette nuit le silence est intense profondeur ?
Océan sans rivage
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La gorge s'ébaubit de douceur sécrétée.
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A une prière, au silence des mots, un Appel.
Soudain, c'est aux étoiles que l'âme s'adresse :
Qu'en est-il des souvenirs qui ne sont plus qu'Un ?
Faut-il balayer, Ô Oiseau toute notre détresse ?
Qu'en est-il, Ô Vie de cette harmonie sans fin ?
Le merle s'élance en volute : qu'en est-il de mon cœur,
Lors qu'en cette nuit le silence est intense profondeur ?
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