Blason de Roth-Eschenburg (Hesse, Allemagne)
Que peut être cette vie, si ce n’est une marche en L’Être ? Que peut être le goût s’il n’est une découverte ? Que peut être cette Conscience si ce n’est Sa Réalité en La Réalisation ? Tout ce que l’on pressent est Le Souvenir actualisé en cette disposition du Présent perpétuel. Chaque détail est Dedans, comme chaque sens en substance dans les mots. Pourquoi basculerions-nous en La Permanence du Dedans ? En Lui, il n’est plus jamais aucune séparation. Néanmoins, nous sommes à saisir la pertinence et la Sagesse de la dualité. La déviance vient du fait seul d’entrer en ce balancier et de s’y identifier. Le conseil du Sage est : entre en La mention du mantra de l’infinitude. Tel est Le Souvenir. Ici, il ne s’agit nullement de nostalgie. Nous sommes en Lui de Présence, en La Voie du Milieu. En répétant consciemment, en La Reliance, les paroles du Vivant, nous établissons cette Connexion qui nous donne à La Présence. Nous entrons en L’Origine. Tel est L’État d’Être. Apnée au coeur de La Lumière. Nous sommes Cela. Lumière et Vivance. Le Sage connaît les tréfonds de l’homme. Il sait cela de par l’expérience. Il ne prétend rien, puisque Cela se donne à vivre comme une seconde naissance. Cela est à rappeler cette Vérité. Celle-là même qui est sa propre évidence. La dualité est donc Le Prétexte à L’Unité, le lieu où chaque chose se cherche, se heurte et se retrouve, tel le tumulte de L’Eau. Mais celui qui n’a pas connu la mort avant la mort est encore à rêver en cette dualité dont il n’a pas les clés.
L’Amour est une Radiance qui échappe aux contingences, à l’aléatoire, à ce qui passe. Le Vrai Amour ne passe jamais, ni ne diminue. Imagine, me dit L’Ami, imagine L’Âtre éternel. Au sein de L’Âtre, un autre Âtre, et cela à l’infini…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire