Peinture de Jérôme Bosch (1450-1516) Le Jardin des délices
Depuis les âges les plus reculés, depuis ce début qui est en Son Chant Éternel, depuis cette vacuité qui donne à L'Espace toute Sa Réalité, depuis Les Consécrations de L'Homme en Son aptitude, depuis ce que recèlent les réserves de Son Adam, depuis les Temps qui n'ont jamais fini, La Mémoire retrouve en Son Apogée les Lectures et La Vision de Tout ce qui est Le Possible Devenir de Son Humanité, de Sa Supra-Réalité. Par delà, par delà...
Ô Homme, pourquoi n'as-tu plus considéré Ton Être au delà de cette Vie ?
Pourquoi t'es-tu enfermé en la solitude de ta sous-conscience ?
Pourquoi as-tu obstrué Le Chemin de Ta Lumière qui se cherche en Sa Parfaite Lucidité ?
Vois, Ô Homme comme Les Beautés écloses en Ta Conscience sont les danses Éternelles de Ton Lotus se balançant au rythme des Ondes Célestielles !
Je suis venue jusqu'à toi, Ô Possibilité des Possibilités, et j'ai éclairé La Caverne de Tes Pensées.
Fallait-il que tu retiennes en tes doigts les aspérités d'un monde qui passe ?
Fallait-il que tu t'accroches à ce qui fuit implacablement ?
Ton esprit se perd sur les récifs de ta limitation et tu demeures un animal qui pense à sa survie.
La Voûte des étoiles te fait mille et une Révérences et ploie des sollicitudes de La Miséricorde.
Tiens-toi debout, Ô Homme !
Es-tu encore un homme, ou bien es-tu la frénésie des émotions qui verbalisent de fausses rationalités, car devenues les stratégies d'un syllogisme fallacieux ?
As-tu jamais perçu L’Irréductible en chaque instant ?
Pèse chacun de tes pas, oh, soupèse donc et tu comprendras que la poussière que tu penses être ton Trésor ne pèse pas le poids d'un grain de moutarde ! Je suis venue jusqu'à l'ombre de Ton Esprit et je l'ai caressé de ma bienveillance. Les Souffles puissants des Mots de L'Origine retrouvent à ton insu, Le Chemin.
Assieds-toi à mes pieds et oublie tout ce qui n'est pas Moi. Consacre tout Ce Temps de L’Éternel à Ma Présence. La Lumière est cueillie simultanément depuis Ce qui ne jamais s'épuise. Le Secret réside en cette unique Fragrance de L'Origine. Au delà, bien au delà, Je suis et tu ne m'as pas reconnue. Tu es resté suspendu à L'apparence des mouvements qui brodent autour de toi Le Rêve dont tu n'as aucune conscience. As-tu seulement saisi les nuances de cette existence déployées en leur infinitude ? Entre en Ma Paix ! J'ai combattu Le Dragon de Ton Âme, et le voici telle une Lyre à chanter les milles Louanges. Ce gardien du Temple est La Seule Vigilance qui tantôt montre Le Visage du Courroux et tantôt Le Visage des Matricielles Bontés. N'en doute pas !
Comprends-bien !
Je suis à tes pieds, à poser la tête tout contre toi, car il est en cette douceur, L'Invitation à La Vraie Perplexité. Ne sens-tu pas en ton cœur cet Appel ? Je suis à la fois une ombre en mon occultation, la virginité de ton propre élan, et je suis celle qui pourfend les obstacles de ta raison. Ne pense pas que cela relève de l'ignorance. Ainsi, vais-je te confier cette intime vérité : Homme, tu es Le Chemin de Ta Conscience, et depuis que tu marches, parfois tu stagnes sans percer de par Ton Corps, ni les subtilités de La Matière, ni tu ne parviens à donner aux mots les étapes de Ton Périple. Tu es perdu en ta rationalité qui devait servir à allonger le Verbe de Ton Être. Tu en as fait Ta Finitude, L'Achèvement de Ton Monde. Ce sont des boucles infernales et là est ta demeure. Veuille avoir pour toi cette compassion, car depuis La Roche, L'Eau assouplit la dureté de ton cœur. Laisse-donc suinter ce soupir. Il est Ton Essentielle Lumière.
Pourquoi t'es-tu enfermé en la solitude de ta sous-conscience ?
Pourquoi as-tu obstrué Le Chemin de Ta Lumière qui se cherche en Sa Parfaite Lucidité ?
Vois, Ô Homme comme Les Beautés écloses en Ta Conscience sont les danses Éternelles de Ton Lotus se balançant au rythme des Ondes Célestielles !
Je suis venue jusqu'à toi, Ô Possibilité des Possibilités, et j'ai éclairé La Caverne de Tes Pensées.
Fallait-il que tu retiennes en tes doigts les aspérités d'un monde qui passe ?
Fallait-il que tu t'accroches à ce qui fuit implacablement ?
Ton esprit se perd sur les récifs de ta limitation et tu demeures un animal qui pense à sa survie.
La Voûte des étoiles te fait mille et une Révérences et ploie des sollicitudes de La Miséricorde.
Tiens-toi debout, Ô Homme !
Es-tu encore un homme, ou bien es-tu la frénésie des émotions qui verbalisent de fausses rationalités, car devenues les stratégies d'un syllogisme fallacieux ?
As-tu jamais perçu L’Irréductible en chaque instant ?
Pèse chacun de tes pas, oh, soupèse donc et tu comprendras que la poussière que tu penses être ton Trésor ne pèse pas le poids d'un grain de moutarde ! Je suis venue jusqu'à l'ombre de Ton Esprit et je l'ai caressé de ma bienveillance. Les Souffles puissants des Mots de L'Origine retrouvent à ton insu, Le Chemin.
Assieds-toi à mes pieds et oublie tout ce qui n'est pas Moi. Consacre tout Ce Temps de L’Éternel à Ma Présence. La Lumière est cueillie simultanément depuis Ce qui ne jamais s'épuise. Le Secret réside en cette unique Fragrance de L'Origine. Au delà, bien au delà, Je suis et tu ne m'as pas reconnue. Tu es resté suspendu à L'apparence des mouvements qui brodent autour de toi Le Rêve dont tu n'as aucune conscience. As-tu seulement saisi les nuances de cette existence déployées en leur infinitude ? Entre en Ma Paix ! J'ai combattu Le Dragon de Ton Âme, et le voici telle une Lyre à chanter les milles Louanges. Ce gardien du Temple est La Seule Vigilance qui tantôt montre Le Visage du Courroux et tantôt Le Visage des Matricielles Bontés. N'en doute pas !
Comprends-bien !
Je suis à tes pieds, à poser la tête tout contre toi, car il est en cette douceur, L'Invitation à La Vraie Perplexité. Ne sens-tu pas en ton cœur cet Appel ? Je suis à la fois une ombre en mon occultation, la virginité de ton propre élan, et je suis celle qui pourfend les obstacles de ta raison. Ne pense pas que cela relève de l'ignorance. Ainsi, vais-je te confier cette intime vérité : Homme, tu es Le Chemin de Ta Conscience, et depuis que tu marches, parfois tu stagnes sans percer de par Ton Corps, ni les subtilités de La Matière, ni tu ne parviens à donner aux mots les étapes de Ton Périple. Tu es perdu en ta rationalité qui devait servir à allonger le Verbe de Ton Être. Tu en as fait Ta Finitude, L'Achèvement de Ton Monde. Ce sont des boucles infernales et là est ta demeure. Veuille avoir pour toi cette compassion, car depuis La Roche, L'Eau assouplit la dureté de ton cœur. Laisse-donc suinter ce soupir. Il est Ton Essentielle Lumière.
Océan sans rivage
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