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Voici le Bouddha-coq, absent des grandes villes ;
On le trouve surtout dans les déserts lointains,
Il peut vive longtemps sans parler aux humains :
Il les trouve gentils, mais quelque peu serviles.
Jamais il n’accomplit le plus petit miracle ;
Simple est son ordinaire, et sa vie sans apprêts.
Il voyage parfois vers les sombres forêts,
Écoutant, des grands pins, l’indéchiffrable oracle.
Il ne connaît ni roi, ni juge, ni bourreau,
Il ne fréquente pas la troupe des faussaires ;
Et son regard ne craint pas le moindre adversaire,
Ni les sabres, parfois surgissant des fourreaux.
Voici le Bouddha-coq, absent des grandes villes ;
On le trouve surtout dans les déserts lointains,
Il peut vive longtemps sans parler aux humains :
Il les trouve gentils, mais quelque peu serviles.
Jamais il n’accomplit le plus petit miracle ;
Simple est son ordinaire, et sa vie sans apprêts.
Il voyage parfois vers les sombres forêts,
Écoutant, des grands pins, l’indéchiffrable oracle.
Il ne connaît ni roi, ni juge, ni bourreau,
Il ne fréquente pas la troupe des faussaires ;
Et son regard ne craint pas le moindre adversaire,
Ni les sabres, parfois surgissant des fourreaux.
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