Armoiries de Grenade (Antilles)
Présence constante au Jardin des Bougainvilliers,
De L’Été, sur les herbes ensoleillées, et arbres majestueux ;
Des brises qui des volutes caressent tes cheveux,
Les yeux explorent ton Âme toute émerveillée.
Je te souris, Ô ma fille, des bourgeons de ta gaieté.
Puis nous sommes à nous envoler dans les Cieux.
Tu me dis : un tel monde existe-t-il, est-ce Réalité ?
Je ris jusqu'aux vagues qui paressent en ce bleu.
Le Temps se suspend en cette balançoire et je t'aime
Du regard profond qui plonge en ce Grand Azur.
Tu me dis : je savais qu'il était là, et même
Je L'attendais, car la vie me semblait si morne.
Cette Destinée est au cœur des Âmes pures.
Oublierai-je ton visage qu'une Lumière orne ?
Océan sans rivage
De L’Été, sur les herbes ensoleillées, et arbres majestueux ;
Des brises qui des volutes caressent tes cheveux,
Les yeux explorent ton Âme toute émerveillée.
Je te souris, Ô ma fille, des bourgeons de ta gaieté.
Puis nous sommes à nous envoler dans les Cieux.
Tu me dis : un tel monde existe-t-il, est-ce Réalité ?
Je ris jusqu'aux vagues qui paressent en ce bleu.
Le Temps se suspend en cette balançoire et je t'aime
Du regard profond qui plonge en ce Grand Azur.
Tu me dis : je savais qu'il était là, et même
Je L'attendais, car la vie me semblait si morne.
Cette Destinée est au cœur des Âmes pures.
Oublierai-je ton visage qu'une Lumière orne ?
Océan sans rivage
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