Que couvent au Regard éperdu des étoiles
Les arbres centenaires, à Ton Mystère ému
Tandis que de rêves et de chimères, le cri aigu
Perce L'Onde du Remord encore plein de voiles ?
Que couvent ces impromptus aux cimes des étoiles
Larges des murmures de nos silences suspendus
Si frêle, tant inattendu au Souffle défendu
Ce grand Espoir qui jamais n'efface nos étoiles ?
Regrets, Amour, impostures, jalousie et haine
Des corbeaux lancent Le Rappel suprême
Du champ dévasté, fragilité de nos mots.
Mais, Ô Brise légère, effluve de L'Âme souveraine
S'échappe dans la nuit de nos visages blêmes
Là-bas, si proche, le chant d'un magnifique oiseau.
Océan sans rivage
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