Blason de l'Istrie
Tu étales ta vie insipide sur Face de Bouc,
Te piquant d'avoir des followers à la pelle.
Pour te donner de grands airs, tu soignes ton look,
Mais dans ton trou perdu, aucun large ne t'appelle.
Tu donnes de l'importance au regard des autres,
Mais l'on se soucie de toi comme de l'an quarante,
Chacun étant de son propre vide l'apôtre
Et se pensant de la quantité tirer rente.
Tu multiplies les selfies relayés partout,
Autrement dit, dans un océan d'indifférence.
Quand tu auras de ta jeunesse perdu l'atout
Et que les épreuves de la vie t'auront rabotée,
Tu te lamenteras sur ces jours de plate errance,
Funeste mémoire que nul ne viendra t'ôter.
Tu étales ta vie insipide sur Face de Bouc,
Te piquant d'avoir des followers à la pelle.
Pour te donner de grands airs, tu soignes ton look,
Mais dans ton trou perdu, aucun large ne t'appelle.
Tu donnes de l'importance au regard des autres,
Mais l'on se soucie de toi comme de l'an quarante,
Chacun étant de son propre vide l'apôtre
Et se pensant de la quantité tirer rente.
Tu multiplies les selfies relayés partout,
Autrement dit, dans un océan d'indifférence.
Quand tu auras de ta jeunesse perdu l'atout
Et que les épreuves de la vie t'auront rabotée,
Tu te lamenteras sur ces jours de plate errance,
Funeste mémoire que nul ne viendra t'ôter.
Blason de Corneilla-del-Vercol (Occitanie, Pyrénées-Orientales)
Ma chère Mado, tu me trouves dure, n'est-ce pas ?
Peut-être crois-tu que je suis pleine d'amertume,
Me prenant des louchées de fiel à chaque repas,
Vivant dans mon antre comme une sibylle de Cumes ?
Le monde est devenu extrêmement frileux,
Ne proférant plus que des opinions communes.
Même les politiques sont devenus des péteux,
Portant la culotte mais n'en ayant plus « aucune ».
Les dernières actualités nous l'illustrent
Car la corruption des esprits est générale
Et la bêtise atteint des bassesses sidérales.
Il y a longtemps que leur système nous frustre ?
Alors qu'attendons-nous pour nous désabonner ?
Que les trompettes de l'Apocalypse sonnent ?
Le Spectre à trois faces
Les trompettes de l'Apocalypse ont déjà sonné.
Ma chère Mado, tu me trouves dure, n'est-ce pas ?
Peut-être crois-tu que je suis pleine d'amertume,
Me prenant des louchées de fiel à chaque repas,
Vivant dans mon antre comme une sibylle de Cumes ?
Le monde est devenu extrêmement frileux,
Ne proférant plus que des opinions communes.
Même les politiques sont devenus des péteux,
Portant la culotte mais n'en ayant plus « aucune ».
Les dernières actualités nous l'illustrent
Car la corruption des esprits est générale
Et la bêtise atteint des bassesses sidérales.
Il y a longtemps que leur système nous frustre ?
Alors qu'attendons-nous pour nous désabonner ?
Que les trompettes de l'Apocalypse sonnent ?
Le Spectre à trois faces
Les trompettes de l'Apocalypse ont déjà sonné.
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