Ce coq d’azur, nous l’avons découvert
Dans sa maison aux parois chatoyantes ;
Il nous ouvrit son âme clairvoyante
Et nous mena dans son beau jardin vert.
En un kiosque est un grand livre ouvert
Où l’on distingue une encre rougeoyante :
C’est, dicté par sa muse flamboyante,
Le lourd recueil de ses élégants vers.
Jamais ne sont de vindicte ni d’ire,
Mais bien, toujours, propos plaisants à dire,
De beaux sermons pour gens bien élevés.
Mais ce grand coq, ce seigneur de la plaine,
Ce magicien des divines fontaines,
N’existe pas, je l’ai juste rêvé.
Cochonfucius
Dans sa maison aux parois chatoyantes ;
Il nous ouvrit son âme clairvoyante
Et nous mena dans son beau jardin vert.
En un kiosque est un grand livre ouvert
Où l’on distingue une encre rougeoyante :
C’est, dicté par sa muse flamboyante,
Le lourd recueil de ses élégants vers.
Jamais ne sont de vindicte ni d’ire,
Mais bien, toujours, propos plaisants à dire,
De beaux sermons pour gens bien élevés.
Mais ce grand coq, ce seigneur de la plaine,
Ce magicien des divines fontaines,
N’existe pas, je l’ai juste rêvé.
Cochonfucius
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