Armoiries
de la Chine impériale, dynastie
Qing (1644-1912)
Sur
le vaste ciel d’or son grand corps est posé ;
L’astre rouge, écoutant sa parole féconde,
Arbore un grand sourire en éclairant le monde,
Le faisant profiter d’un éclat maîtrisé.
De nuages d’argent le décor composé
Forme le vêtement de la planète ronde ;
Je les vois, sur la terre et sur la mer profonde,
Soit rares, soit nombreux, savamment disposés.
Le ciel d’or, tout le jour, ne cesse de s’étendre ;
Par l’orage d’un soir, il peut bien nous surprendre :
Du ciel, on doit s’attendre à de l’inattendu.
La place du dragon est toujours la plus haute ;
D’ici, tu peux le voir, il s’y trouve, sans faute,
Peut-être, quelquefois, tu l’as même entendu.
Cochonfucius
L’astre rouge, écoutant sa parole féconde,
Arbore un grand sourire en éclairant le monde,
Le faisant profiter d’un éclat maîtrisé.
De nuages d’argent le décor composé
Forme le vêtement de la planète ronde ;
Je les vois, sur la terre et sur la mer profonde,
Soit rares, soit nombreux, savamment disposés.
Le ciel d’or, tout le jour, ne cesse de s’étendre ;
Par l’orage d’un soir, il peut bien nous surprendre :
Du ciel, on doit s’attendre à de l’inattendu.
La place du dragon est toujours la plus haute ;
D’ici, tu peux le voir, il s’y trouve, sans faute,
Peut-être, quelquefois, tu l’as même entendu.
Cochonfucius
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire