Composition
de l'auteur
L’eau
d’un vieil étang doucement se ride,
La bécasse y boit pendant tout l’été ;
Cet oiseau ne craint pas les lieux humides,
L’ondin de la mare aime l’écouter.
La bécasse au bois est un peu timide,
Qui jamais ne veut cet endroit quitter ;
Son cœur est serein mais il n’est pas vide,
À son doux regard, comment résister ?
Bécasse, prends garde aux bêtes cruelles
Qui de leurs longs crocs mordaient ton corps frêle ;
Ou qu’un vieux chasseur te mette au tombeau.
Reste donc en vie, oiseau plein de charme,
Nous écouterons ton rire et tes larmes ;
Ne crains pas le loup ni le noir corbeau.
La bécasse y boit pendant tout l’été ;
Cet oiseau ne craint pas les lieux humides,
L’ondin de la mare aime l’écouter.
La bécasse au bois est un peu timide,
Qui jamais ne veut cet endroit quitter ;
Son cœur est serein mais il n’est pas vide,
À son doux regard, comment résister ?
Bécasse, prends garde aux bêtes cruelles
Qui de leurs longs crocs mordaient ton corps frêle ;
Ou qu’un vieux chasseur te mette au tombeau.
Reste donc en vie, oiseau plein de charme,
Nous écouterons ton rire et tes larmes ;
Ne crains pas le loup ni le noir corbeau.
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