L'on n'est pas trop de deux quand la progéniture,
Par son nombre, l'exige. L'on se doit en cela
Seconder sa Dame que – Dieu merci – la nature
A rendu si féconde, et même, au-delà !
Je suis certes quelque peu débordé sous mes plumes
Où l'on se pousse et pépie à qui mieux mieux !
Lors, je ne m'étonne plus de prendre du volume !
Il nous faudra bien trouver un juste milieu.
L'on se trouve, à me voir ainsi, plié de rire,
Si bien, qu'à mon tour, cela me prête à sourire.
Toute cette joyeuse marmaille est à me rappeler
Que je fus moi aussi un poussin. Quand j'y songe,
J'aurais bien aimé que cette époque se prolonge...
Lors, me voici avec une ferme à repeupler !
Marc
Seconder sa Dame que – Dieu merci – la nature
A rendu si féconde, et même, au-delà !
Je suis certes quelque peu débordé sous mes plumes
Où l'on se pousse et pépie à qui mieux mieux !
Lors, je ne m'étonne plus de prendre du volume !
Il nous faudra bien trouver un juste milieu.
L'on se trouve, à me voir ainsi, plié de rire,
Si bien, qu'à mon tour, cela me prête à sourire.
Toute cette joyeuse marmaille est à me rappeler
Que je fus moi aussi un poussin. Quand j'y songe,
J'aurais bien aimé que cette époque se prolonge...
Lors, me voici avec une ferme à repeupler !
Marc
Blasons de Eibergen (Pays-Bas) et de Matrei am Brenner (Tyrol, Autriche)
Quelle allure...splendide!
RépondreSupprimerUn prolifique plumitif plumeux.