Parti : au premier d'argent aux trois fasces ondées d'azur ;
au second d'azur aux trois larmes d'argent.
Oscillations et ondulations en ce Chemin vivant.
S'il n'est point d'humidité, alors que nous vaut de vivre ?
Ce sont nos âpres vérités, n'en déplaise aux insouciants.
Elles sont les Parures des yeux qui sont nos souvenirs, ivres.
Ces goûts de l'océan sont une douceur à L'Âme fervente.
Il n'est qu'une seule crainte, c'est de mourir sans vivre L'Étreinte.
Riez donc, Ô vous qui de vos yeux secs, ne voyez rien !
Sur les vagues fougueuses est à ondoyer Un Azuré.
Il est des Perles que recueille un étrange Écrin.
C'est en la solitude suave que nous sommes à pleurer.
Les fleuves de Langueur sont les Respirs incessants du Souffle,
Et notre cœur sursaute en L'Amour qui s'unifie aux douces ondes,
Puissantes en cet infini et qui embrasent ce qu'un sanglot étouffe,
Dans le silence d'une cellule, en cette nuit hors du monde.
Riez donc, car il est un rire qui se veut dérision,
Lors que La Joie est une pleine Oraison.
Je suis le vent en cet hiver qui s'annonce.
Je me veux vous avertir de la singulière somnolence,
Et vous revêtir de cette Nouvelle : un Jour est à venir.
Il est à cueillir les désirs de votre négligence.
C'est en ce tournoiement, que trois Larmes sont une danse.
Ce lointain Zéphyr est encore à vous tous chérir.
Océan sans rivage
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