Blason de Mokošín (Bohême, Tchéquie)
L’on est conquis par cet au-delà du Présent.
Quelle âme encor s’étonne de voir les vestiges
Du bruissement vivant, quand la douceur du vent
Nous rappelle une voix qui nous donne au vertige ?
Il est une Lune au Temple de notre invocation,
Lors que siffle un Rossignol, La Belle se penche
Du Firmament, éprise à L’Aube, et guette l’horizon ;
Voix lactée, chant des prés, printemps qui s’épanche.
La pénombre des sous-bois nous tient dans la nuit.
Ce Jour ancien frémit de réminiscences.
Quel est donc ce cœur qui en La Mort voit La Vie ?
Comme est précieux ce point en la toute Présence ;
Enlacés tout deux, qui desserre ce Lien encor ?
Âme ! N’est-il pas un secret que révèle La Mort ?
Du bruissement vivant, quand la douceur du vent
Nous rappelle une voix qui nous donne au vertige ?
Il est une Lune au Temple de notre invocation,
Lors que siffle un Rossignol, La Belle se penche
Du Firmament, éprise à L’Aube, et guette l’horizon ;
Voix lactée, chant des prés, printemps qui s’épanche.
La pénombre des sous-bois nous tient dans la nuit.
Ce Jour ancien frémit de réminiscences.
Quel est donc ce cœur qui en La Mort voit La Vie ?
Comme est précieux ce point en la toute Présence ;
Enlacés tout deux, qui desserre ce Lien encor ?
Âme ! N’est-il pas un secret que révèle La Mort ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire