Blason de Saint-Apollinaire (Côte-d'Or, Bourgogne)
Souvent, lors que l'on y pense, surgit une image.
Elle est diffuse et emplit tout l'univers.
Les yeux s'étonnent et plongent en ce voyage.
Des tourbillons de mots qui deviennent tous des frères.
C'est ainsi que sa démarche est lente et parfois,
L'on surprend en lui l'être primordial, voire sauvage.
Que savons-nous de ce silence qui devient Roi ?
Du doux murmure des arbres, le vent forme un adage.
La solitude est une compagne pour cette bête.
Des baies florales sont à souvent le nourrir.
Cette lourdeur du corps est matière, et de fait,
Poésie est son Âme qui toujours aspire.
Du sommeil des profondeurs, l'obscure Demeure
Abrite les rêves sages de notre étrange ami.
Fauve hivernal du prétexte à L'Alchimie.
L'Âme trouve le point subtil que recèle le cœur.
Elle est diffuse et emplit tout l'univers.
Les yeux s'étonnent et plongent en ce voyage.
Des tourbillons de mots qui deviennent tous des frères.
C'est ainsi que sa démarche est lente et parfois,
L'on surprend en lui l'être primordial, voire sauvage.
Que savons-nous de ce silence qui devient Roi ?
Du doux murmure des arbres, le vent forme un adage.
La solitude est une compagne pour cette bête.
Des baies florales sont à souvent le nourrir.
Cette lourdeur du corps est matière, et de fait,
Poésie est son Âme qui toujours aspire.
Du sommeil des profondeurs, l'obscure Demeure
Abrite les rêves sages de notre étrange ami.
Fauve hivernal du prétexte à L'Alchimie.
L'Âme trouve le point subtil que recèle le cœur.
Blason de la commune urbaine de Dikson (kraï de Krasnoïarsk, Russie)
Au Nord des steppes, se lève le vent
Que caressent les ondes des herbes éparses
Tandis que L'Etoile Polaire est Regard de La Constance.
C'est là que s'éclaire en permanence La Conscience.
Veille à ce que cette flamme, jamais ne s'éteigne
Aurorale est Sa Présence et c'est là que pointe La Flèche.
Tiens entre les doigts de ta ferveur et de la délicatesse
Ce diamant des mille Lueurs de La Quintessence.
Puis, entre en cette Danse qui est L'Ivresse,
Tant que L'Onde ondoie des constellations,
Alors viennent jusqu'à toi ces Assemblées qui te font Révérence.
Ourse de mon Âme,
Ton Silence ne pèse jamais à mon cœur en émoi.
J'aime L'Astre esseulé en l'obscurité de Ta Demeure.
C'est là que tout est à se révéler,
Lors que Flottant, tel un Diadème,
Le Château en ses Eaux de La Primordialité,
Resplendit des Ors de La pleine Lumière.
Mon Ourse des éthers, je respire en ton sommeil
Et Les Veillées principielles sont L'Auguste Voile de Ta Face.
Vois comme frémit L'Aube de Sa Descente !
A L'approche de La Majesté, les mille Chants sont Amour.
En Les Larmes de Ton Azuré, ces Rosées sont fraîches Nouvelles.
Des Transparences de Ton Apparition, Les larmes sont douces.
Essence en Ton Essence, Voile du Jour est Lecture des Feuillets.
Je suis ta couverture et de mon poids je fixe la présence des mots.
Mon martèlement est cette bienveillance que La Terre accueille.
Mon Epée est une Réelle Clé qui ouvre toutes Les Portes de La Substance.
N'as-tu pas compris ?
Ce sont les soies délicates de mon Océan.
Où es-tu à Me chercher ?
Je suis là.
Lors que La Perle est d'Amour Son Suintement.
La Lumière est Lui qui est Danse.
Eclose en Son Verbe du Rayonnant Firmament,
L'Amour est Lumière, et Intarissable Sa Vérité !
Ce Monde tient uniquement de par La Lumière de L'Eternité.
Océan sans rivage
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