Un Jour, un masque tombe de son irréalité,
Puis court comme un fou dans les champs.
Il craint le vent, les loups, et même le firmament.
C'est là, subitement, qu'il sait qu'il est tiraillé.
Un jour, un masque comprend son entêtement.
Son amie, de chaudes larmes, pleure son égarement.
"Ton visage est beau, et je le vois tel qu'il est.
Laisse tomber ce masque et en Lui Seul paraît !"
Il s'agit d'un bouclier, rien d'autre, me dis-tu ?
Je sais bien ce qu'il en est. Je crains son leurre !
Il sait coller et nous empêche de nous unifier.
Le Seul Berger est en nous, et toi, resquilleur,
Point ne m'abuse, je te jette sans sourciller.
L'Unicité est bien plus qu'une simple vertu.
Océan sans rivage
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