Les frontons sont vêtus de grands chapeaux pompeux.
Les Toits ploient sous le poids des neiges ensemencées,
Tandis que Le Ciel embrasse du vent laiteux
L'Horizon des longs soupirs indifférenciées.
De nos blanches pensées saupoudrées de gris
Le Lys incarne depuis le cœur qui expire
Les Rosées empourprées des encens de La Lyre.
C'est là que vogue ma langueur qui veut s'unir
A ce qui ne jamais corrompt le cœur innocent.
Paris de mes rêves s'éveille de son silence
Hébété. Tant de vies flottantes, tant de passants
Sur les rives majestueuses de Ta Présence,
Bientôt, les toits onduleront et riront
Un peu partout, des exclamations fleuriront !
Océan sans rivage
Magnifique ! (R.C.)
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