La Roue du Dharma tourne et n'a de répit
Qu'en t'ayant élevé dans l'axe de ton âme.
Quitte ton amertume et laisse là ton dépit ;
Il est une Sagesse cachée, n'en fais pas un drame.
Considère ton corps mais sans t'y identifier,
Faute, sinon, d'y rester accroché dans la tombe.
Écoute tes sentiments, sans jamais t'y fier ;
Si l'émotion monte en gerbe, toujours elle retombe.
Cohère ton mental en une pensée unifiée
Car c'est beaucoup d'air, souvent, que ce moulin brasse.
Penses-y : les chiens aboient, la caravane passe.
Qu'as-tu, dans ce plat décor, à vouloir défier ?
À sauver les apparences, l'on se perd soi-même.
La main du cueilleur est aussi la main qui sème.
Marc
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Dans son ignorance,
RépondreSupprimerLe cochon fait de beaux rêves,
C'est presque un savoir.