Blason de Renaucourt (Haute-Saône, Bourgogne-Franche-Comté)
De gueules à la quintefeuille d'or d'où meuvent, entre les pétales, cinq épis de blé du même, ployés vers senestre et ordonnés en cercle en forme de roue, soutenue d'une divise ondée d'argent et surmontée de sept rais comètés du même mouvant du chef et décroissants des flancs vers le centre.
Subreptice est ce pas qui ne jamais finit de chercher.
Je le sens se coller aux palpitations du cœur.
Ce sont les papillons que l'on ne voit pas.
Sans Toi, je ne suis en aucune réalité.
Je me suis assise et les ai regardés, me demandant en moi-même :
Je le sens se coller aux palpitations du cœur.
Ce sont les papillons que l'on ne voit pas.
Sans Toi, je ne suis en aucune réalité.
Je me suis assise et les ai regardés, me demandant en moi-même :
Y croyez-vous ?
Jusqu'au bout ?
J'ai regardé la plus jeune et je lui ai parlé, mais elle n'a pas entendu.
Elle écrivait, très sérieuse, et sans doute assez fière.
Quant à celle qui semblait tout connaître, je lui souriais, mais elle ne me voyait pas.
Je devenais invisible.
J'étais heureuse.
J'ai dit à cette gentille personne : le monde est un enchantement.
Elle a rétorqué : oui.
J'ai ajouté : Mais, il en est qui sont dans des postures d'enchantement.
Elle a acquiescé.
En sortant de cette irréalité, j'ai sautillé.
Je dansais avec le soleil.
Ses rayons m'enlaçaient.
De petites fleurs jaunes m'appelaient et je me suis penchée pour leur dire : comme vous êtes belles !
Leur suave parfum est semblable à mille étreintes.
Une petite Dame munie d'une canne boitait.
Elle avait un visage moribond et si grave.
Je me suis arrêtée et lui ai lancé un peu fort : "Bonjour Madame !"
Je n'ai pu m'empêcher alors de sourire.
Son visage s'est éclairé.
- Où allez-vous, Beauté ? me lance-t-elle.
- Oh ! ma gentille Dame, je rentre chez moi.
- Je vais visiter mon époux malade. Il perd la vue, m'explique-t-elle.
Une larme glisse sur sa joue.
Alors je m'élance vers elle et lui dis : Je vais prier pour vous.
Courage ma gentille Dame. Je vais vous faire un petit bisou. Là, tout ira bien !
- Ma Beauté, où habitez-vous ?
- Oh ! là tout près, ma gentille Dame.
Puis je la quitte, après lui avoir fait mille caresses.
Je la vois partir de sa démarche tremblante.
Je rencontre une autre femme qui me dit :
Jusqu'au bout ?
J'ai regardé la plus jeune et je lui ai parlé, mais elle n'a pas entendu.
Elle écrivait, très sérieuse, et sans doute assez fière.
Quant à celle qui semblait tout connaître, je lui souriais, mais elle ne me voyait pas.
Je devenais invisible.
J'étais heureuse.
J'ai dit à cette gentille personne : le monde est un enchantement.
Elle a rétorqué : oui.
J'ai ajouté : Mais, il en est qui sont dans des postures d'enchantement.
Elle a acquiescé.
En sortant de cette irréalité, j'ai sautillé.
Je dansais avec le soleil.
Ses rayons m'enlaçaient.
De petites fleurs jaunes m'appelaient et je me suis penchée pour leur dire : comme vous êtes belles !
Leur suave parfum est semblable à mille étreintes.
Une petite Dame munie d'une canne boitait.
Elle avait un visage moribond et si grave.
Je me suis arrêtée et lui ai lancé un peu fort : "Bonjour Madame !"
Je n'ai pu m'empêcher alors de sourire.
Son visage s'est éclairé.
- Où allez-vous, Beauté ? me lance-t-elle.
- Oh ! ma gentille Dame, je rentre chez moi.
- Je vais visiter mon époux malade. Il perd la vue, m'explique-t-elle.
Une larme glisse sur sa joue.
Alors je m'élance vers elle et lui dis : Je vais prier pour vous.
Courage ma gentille Dame. Je vais vous faire un petit bisou. Là, tout ira bien !
- Ma Beauté, où habitez-vous ?
- Oh ! là tout près, ma gentille Dame.
Puis je la quitte, après lui avoir fait mille caresses.
Je la vois partir de sa démarche tremblante.
Je rencontre une autre femme qui me dit :
- Bonjour ma sœur ! Bonne journée!
- Oh ! Bonne journée de même à vous !
Une autre vient timidement me demander :
- Oh ! Bonne journée de même à vous !
Une autre vient timidement me demander :
- Savez-vous quand viennent les sœurs de Blesle ?
- Oh non, désolée, je ne le sais pas !
Les oiseaux gazouillent du printemps.
La Réalité donne de La Joie profonde.
L'Amour enlace le quotidien.
Il est là !
J'embrasse le monde !
- Oh non, désolée, je ne le sais pas !
Les oiseaux gazouillent du printemps.
La Réalité donne de La Joie profonde.
L'Amour enlace le quotidien.
Il est là !
J'embrasse le monde !
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