Blason de Halle (Rhénanie-du-Nord-Westphalie)
Il est un Jardin qui s'est en Lui-même entretenu.
Des propos que l'on murmure en cette Éternité.
Il est un foyer ruisselant des feux de L'Inconnu,
Lors que ce cœur est son incandescente extrémité.
C'est seule en ce voyage que je suis à désirer,
Depuis L'Aube que je ne sais plus nommer.
Peu m'importe ce monde et ce qu'il en est.
En chacun est La Réalité d'une Nitescente Roseraie.
Je suis à poursuivre ces sphères en leurs vagues ferventes.
Que sont ces balbutiements de mots qui sont à m'écorcher ?
Je vais marcher, et même si je suis à m'épuiser en cette déferlante,
Que m'importe puisque c'est là où je vais, et en Lui, je suis à m'échouer.
Il n'est aucun rivage pour me seconder, seul L'Océan est ma navigation.
Il n'est personne pour me consoler, si ce n'est mon Bien-Aimé.
La seule Réalité est celle de Sa poignante Incessance
Et L'Infini de Sa Bonté. Puis-je un autre encore regarder ?
Il est rivé à mon regard et les yeux sont à me Le dévoiler.
Peu importe les douleurs alchimiques de l'irradiance.
Sont-ce des mots que nous sommes à aligner ?
Je marche et c'est courbée que La Montagne me hante.
Là-haut, elle est à m'appeler et j'ai peine à résister.
Ce Jardin est en La Citadelle d'une insolite contrée.
Il est à fleurir des larmes des milles aspirations ardentes.
Il est à veiller sur des fleurs qu'aucun homme n'a touchées.
J'ai embrassé les myosotis de notre enfance hébétée.
Les humbles pâquerettes et le pissenlit des allées.
Les jacinthes lumineuses des étreintes olfactives,
Les suaves effleurements de l'innocente jonquille.
Les clairières des ondes silencieuses et intuitives,
Lors qu'elles cherchent à enlacer l'eau qui frétille.
Les miroirs que les souffles froissent en L'Imperceptible,
Sont à faire jaillir les seuls désirs de L'Âme Aimantée.
Le Jardin recueille les nacres de L’inassouvie volupté.
Ce sont les bourdonnements des rivières irrésistibles.
Les pas sont à suivre la seule cadence de L'esseulée.
Ne sont pas de nous ces fluviales Rayonnances !
Qui peut oser s'approprier cette vie et tout ce qui en est ?
Il est une Voix qui est à chanter et Le Luth est à danser !
Le Calame s'abreuve des extatiques Ressouvenances.
Quintessence du Jardin en Son Écrin Augural.
Sont-ce les étoiles de La Fusion qui gouvernent nos Respirs ?
Sont-ce les étreintes solitaires de nos aspirations vespérales ?
Ou bien languissantes effluves de L'Arbre aux souvenirs ?
C'est aux Lys que va ma préférence, en mon itinérance,
Lors qu'à genoux, j'ai veillé à La Chandelle de l'Immanence.
Il est un foyer ruisselant des feux de L'Inconnu,
Lors que ce cœur est son incandescente extrémité.
C'est seule en ce voyage que je suis à désirer,
Depuis L'Aube que je ne sais plus nommer.
Peu m'importe ce monde et ce qu'il en est.
En chacun est La Réalité d'une Nitescente Roseraie.
Je suis à poursuivre ces sphères en leurs vagues ferventes.
Que sont ces balbutiements de mots qui sont à m'écorcher ?
Je vais marcher, et même si je suis à m'épuiser en cette déferlante,
Que m'importe puisque c'est là où je vais, et en Lui, je suis à m'échouer.
Il n'est aucun rivage pour me seconder, seul L'Océan est ma navigation.
Il n'est personne pour me consoler, si ce n'est mon Bien-Aimé.
La seule Réalité est celle de Sa poignante Incessance
Et L'Infini de Sa Bonté. Puis-je un autre encore regarder ?
Il est rivé à mon regard et les yeux sont à me Le dévoiler.
Peu importe les douleurs alchimiques de l'irradiance.
Sont-ce des mots que nous sommes à aligner ?
Je marche et c'est courbée que La Montagne me hante.
Là-haut, elle est à m'appeler et j'ai peine à résister.
Ce Jardin est en La Citadelle d'une insolite contrée.
Il est à fleurir des larmes des milles aspirations ardentes.
Il est à veiller sur des fleurs qu'aucun homme n'a touchées.
J'ai embrassé les myosotis de notre enfance hébétée.
Les humbles pâquerettes et le pissenlit des allées.
Les jacinthes lumineuses des étreintes olfactives,
Les suaves effleurements de l'innocente jonquille.
Les clairières des ondes silencieuses et intuitives,
Lors qu'elles cherchent à enlacer l'eau qui frétille.
Les miroirs que les souffles froissent en L'Imperceptible,
Sont à faire jaillir les seuls désirs de L'Âme Aimantée.
Le Jardin recueille les nacres de L’inassouvie volupté.
Ce sont les bourdonnements des rivières irrésistibles.
Les pas sont à suivre la seule cadence de L'esseulée.
Ne sont pas de nous ces fluviales Rayonnances !
Qui peut oser s'approprier cette vie et tout ce qui en est ?
Il est une Voix qui est à chanter et Le Luth est à danser !
Le Calame s'abreuve des extatiques Ressouvenances.
Quintessence du Jardin en Son Écrin Augural.
Sont-ce les étoiles de La Fusion qui gouvernent nos Respirs ?
Sont-ce les étreintes solitaires de nos aspirations vespérales ?
Ou bien languissantes effluves de L'Arbre aux souvenirs ?
C'est aux Lys que va ma préférence, en mon itinérance,
Lors qu'à genoux, j'ai veillé à La Chandelle de l'Immanence.
Océan sans rivage
Blason de Cagnicourt (Pas de Calais)
De sinople aux trois lys de jardin d’or.
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