Ce n'est plus seulement un Jardin, un Écrin,
Sans doute. Il est bien plus, ce nous semble encor.
En son cœur, La Rose s'émeut du matin,
Lors que sa Robe ruisselle du doux transport.
Les pétales s'envolent embrasser Le Ciel,
En ce suave parfum que Le Souffle avive.
N'est-ce pas le songe de notre vive étincelle,
Lors que nous sommes en cette langueur effusive ?
Ma Rose Aimée soupire en ces épanchements,
Et je La veux vêtir de mes mains bienveillantes.
C'est en Elle que mon cœur se respire et s'aspire.
Ma Rose a les larmes qu'épouse mon désir.
Je suis à genoux rivée à Son Expir ardent,
Et je me veux mourir en son Âme Aimante.
Océan sans rivage
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