Blason de Mours (Val-de-Marne, Ile-de-France)
Taillé : au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or ordonnées en orle, au second de gueules au chevalier contourné sur un cheval galopant tenant dans sa dextre une épée et dans sa senestre un écu, le tout aussi d'or ; à la cotice en barre dallée d'argent et maçonnée de sable, brochant sur la partition ; à la champagne de sinople chargée d'une gerbe de blé d'or surmontée d'une devise ondée d'argent brochant sur le tout.
Ai-je cru une seule seconde que La Vie se gouvernait Seule ?
Le Regard extatique a rejoint L’Origine du Regard et en Lui a vu.
Les faisceaux de Sa Volonté sont une Sagesse qui rayonnent depuis Le Commencement.
C’est La Seconde qui se suspend.
Depuis, je suis en Elle qui ne jamais finit.
En Ce Premier Verbe éclosent des milliers de verbes.
Tous sont en cet Echo.
L’Onde se répand en Lumière.
Les ténèbres ne sont que les cavités occultes d’une matrice.
Ne t’y arrête pas, quand bien même tu percevrais des étincelles.
Continue.
Ne cherche que Lui !
Vois La Danse Ascensionnelle.
De cette Braise est L’Ardence d’une Aspiration.
Ne souhaite rien.
Ne regarde rien.
Ne t’attarde en rien.
Le Chemin est La Seule Finalité qui est Lui.
Je n’ai pas oublié.
Il est en Son Souvenir.
Il est La Main Large qui se déploie.
Il est Les milliers de Chevaliers qui tous filent à La Vitesse d’un Vent Sublime.
Mille Portes s’offrent à Ton Regard.
Des vagues de Joyaux qu’Il dépose à tes pieds.
Ne prends rien.
Ne touche pas.
File droit.
Les coursiers sont les flammes de notre intensité.
Mille courtoisies et mille Révérences.
Il est Celui qui enseigne les soieries de Son Drapé.
Les Convenances.
Il est Tout Cela.
Un chevalier avance en ce pas.
Il est à ne jamais vouloir arriver.
– Pourquoi donc mon Bien-Aimé ?
Le Chevalier en des Yeux Languissants répond :
– Je ne veux jamais Te quitter, Ô Toi Océan de La Proximité !
Plus est longue La Distance et plus je suis proche de Toi.
Je marche en cette cadence qui se suspend en Ton Regard.
Ô Plénitude de La Rencontre en cette Distance.
Ô Secret de La Demande !
Ô Ma mélancolie qui me donne à T’aimer encore et encore Te désirer !
Lors que j’ai froid, Tu m’enveloppes des douceurs du vent de L’Orient.
Les nouvelles qu’il féconde en ces Cieux du Mystère sont mon sourire Béat.
Lors que j’ai soif, je baise La Main qui m’abreuve et oublie ma soif.
Mon Roi, du Chemin de mes pas, je suis ivre, ivre de Toi !
L’obsession de Toi est savoureuse de notre Union Secrète.
Plus je suis en ce languissement et plus Tu es là.
– Je te soupçonne de ralentir le pas pour ne jamais perdre La Soif de Moi.
– Oui, Seigneur de mon Âme.
– Je te soupçonne de recommencer par goût de venir en Moi.
– Oui, Seigneur de mon Âme.
– Je te soupçonne de faire mine de ne pas Me voir, pour Me voir encore !
– Oui, mon Seigneur !
Alors, Le Roi se met à rire.
Ai-je cru une seule seconde que La Vie se gouvernait Seule ?
Le Regard extatique a rejoint L’Origine du Regard et en Lui a vu.
Les faisceaux de Sa Volonté sont une Sagesse qui rayonnent depuis Le Commencement.
C’est La Seconde qui se suspend.
Depuis, je suis en Elle qui ne jamais finit.
En Ce Premier Verbe éclosent des milliers de verbes.
Tous sont en cet Echo.
L’Onde se répand en Lumière.
Les ténèbres ne sont que les cavités occultes d’une matrice.
Ne t’y arrête pas, quand bien même tu percevrais des étincelles.
Continue.
Ne cherche que Lui !
Vois La Danse Ascensionnelle.
De cette Braise est L’Ardence d’une Aspiration.
Ne souhaite rien.
Ne regarde rien.
Ne t’attarde en rien.
Le Chemin est La Seule Finalité qui est Lui.
Je n’ai pas oublié.
Il est en Son Souvenir.
Il est La Main Large qui se déploie.
Il est Les milliers de Chevaliers qui tous filent à La Vitesse d’un Vent Sublime.
Mille Portes s’offrent à Ton Regard.
Des vagues de Joyaux qu’Il dépose à tes pieds.
Ne prends rien.
Ne touche pas.
File droit.
Les coursiers sont les flammes de notre intensité.
Mille courtoisies et mille Révérences.
Il est Celui qui enseigne les soieries de Son Drapé.
Les Convenances.
Il est Tout Cela.
Un chevalier avance en ce pas.
Il est à ne jamais vouloir arriver.
– Pourquoi donc mon Bien-Aimé ?
Le Chevalier en des Yeux Languissants répond :
– Je ne veux jamais Te quitter, Ô Toi Océan de La Proximité !
Plus est longue La Distance et plus je suis proche de Toi.
Je marche en cette cadence qui se suspend en Ton Regard.
Ô Plénitude de La Rencontre en cette Distance.
Ô Secret de La Demande !
Ô Ma mélancolie qui me donne à T’aimer encore et encore Te désirer !
Lors que j’ai froid, Tu m’enveloppes des douceurs du vent de L’Orient.
Les nouvelles qu’il féconde en ces Cieux du Mystère sont mon sourire Béat.
Lors que j’ai soif, je baise La Main qui m’abreuve et oublie ma soif.
Mon Roi, du Chemin de mes pas, je suis ivre, ivre de Toi !
L’obsession de Toi est savoureuse de notre Union Secrète.
Plus je suis en ce languissement et plus Tu es là.
– Je te soupçonne de ralentir le pas pour ne jamais perdre La Soif de Moi.
– Oui, Seigneur de mon Âme.
– Je te soupçonne de recommencer par goût de venir en Moi.
– Oui, Seigneur de mon Âme.
– Je te soupçonne de faire mine de ne pas Me voir, pour Me voir encore !
– Oui, mon Seigneur !
Alors, Le Roi se met à rire.
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