Gente Poule, tant de beautés ici célébrées
Ravissent, je vous le dois dire, mon âme candide ;
Lors, de révérences, je me sens toute pénétrée
Car je pressens que la Vérité est Splendide.
Il ne tint qu'à moi de lever sur le Monde Crée
Un regard d'Amour car lui seul donne toute Lumière.
N'éclaira-t-elle pas ma Vie qu'en mon coeur j'agrée
Et n'ouvrit en mon ignorance de belles clairières ?
Comme je me dandinais, en croyant tout savoir !
J'étais – vous le dois-je confesser ? – une oie stupide,
Mon cerveau n'étant pas non plus des plus rapides.
Des futilités, dont j'aimais à m'émouvoir,
Il ne resta bientôt plus grand-chose de solide ;
Plus qu'amer, le goût de ce monde est insipide.
Marc
D'azur à la clef d'or, accostée à dextre d'une oie de sable
et à senestre d'un roc d'échiquier d'argent.
et à senestre d'un roc d'échiquier d'argent.
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