Que La Terre nourricière au Ciel s'unisse.
Que les aspérités du violent tumulte
En rangs serrés et révérenciels, s'aplanissent.
Vois La Danse des Rayonnances du Pur Culte.
Il est un Chant Solaire qu'absout L'Horizon.
Se sont entrelacés les fleuves en doux heurt,
Lancinances que révèle la Floraison
Des longs chemins, dont s'imprègne encor le cœur.
Une sorte de Lieu est lors maturité.
Quand La Conscience pleine est reliée à ce Tout,
Fulgurance et basculement sont un Chemin.
Ma Noble Cigogne, vous parlez d'acuité.
Or, cette douce pensée me vient, je l'avoue :
Janus est à cacher Le visage de L'Un.
Océan sans rivage
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