Blason de la ville de Reykjanesbær (Islande)
L'Hiver a les prouesses du Printemps Éternel
En ce Lieu, L'Ivresse est abondance du Ciel
Une goutte déborde et mon monde chavire
En des milliers de mondes qui eux tous m'aspirent
Je suis en une sorte de Transe et ma Joie est Plaine
Je ne sais plus si mon corps est, car je suis Son Miel
Et me nourris de tout ce dont je suis étrangement pleine
Mille Rossignols extatiques déversent ces chants fluviaux
J'atteins l'Apogée des vagues consubstantielles
Nul ne peut me retenir, je suis noyée en ces flots
Que dire, vivre et mourir en ces instants perpétuels
Lors que s'achève l'inachevé en cet entier Amour
Mes veines sont irriguées du Printemps de velours.
Océan sans rivage
L'Hiver a les prouesses du Printemps Éternel
En ce Lieu, L'Ivresse est abondance du Ciel
Une goutte déborde et mon monde chavire
En des milliers de mondes qui eux tous m'aspirent
Je suis en une sorte de Transe et ma Joie est Plaine
Je ne sais plus si mon corps est, car je suis Son Miel
Et me nourris de tout ce dont je suis étrangement pleine
Mille Rossignols extatiques déversent ces chants fluviaux
J'atteins l'Apogée des vagues consubstantielles
Nul ne peut me retenir, je suis noyée en ces flots
Que dire, vivre et mourir en ces instants perpétuels
Lors que s'achève l'inachevé en cet entier Amour
Mes veines sont irriguées du Printemps de velours.
Océan sans rivage
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