C'est ainsi qu'un jour parla la Femme Océane
Dont les mots doux savent apaiser l'écume des cœurs.
De sa bouche de Sirène mélancolique émane
De l'Amour le plus poignant chant des profondeurs.
Écoute ses paroles, elles sont tiennes ;
Entends sa complainte, c'est ton cri.
Sois sans crainte, quoi qu'il advienne
Car d'Amour jamais nul n'a péri.
Marc
Plonge en cette mer vivante
Plonge, chaque vague est Ton Âme
Plonge en cette larme ondoyante
Velours des mots devenus Union qui se clame
Depuis un corps s'élève l'Esprit
Obsédant parfum du Monde Divin
Plonge, mon Ami, la Rive est Bénie
Plonge en ce que ton cœur pressent
Comme est Beau ce monde qui n'est pas vain
Comme est Belle la fusion des senteurs
Comme est Belle la découverte de cet Ailleurs
Ici est né le Regard de l'instant qui se pressent
Ici, comme une fenêtre ouverte sur l'Océan
Ô comme l'Azur palpite des douceurs de l'Esprit
Euphorie d'une promesse assouvie
Ici, les ondes sont murmures frémissants.
Plonge en cette mer vivante
Plonge, chaque vague est Ton Âme
Plonge en cette larme ondoyante
Velours des mots devenus Union qui se clame
Depuis un corps s'élève l'Esprit
Obsédant parfum du Monde Divin
Plonge, mon Ami, la Rive est Bénie
Plonge en ce que ton cœur pressent
Comme est Beau ce monde qui n'est pas vain
Comme est Belle la fusion des senteurs
Comme est Belle la découverte de cet Ailleurs
Ici est né le Regard de l'instant qui se pressent
Ici, comme une fenêtre ouverte sur l'Océan
Ô comme l'Azur palpite des douceurs de l'Esprit
Euphorie d'une promesse assouvie
Ici, les ondes sont murmures frémissants.
Océan sans rivage
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