Blason de Galaad, chevalier de la table Ronde
D’argent à la croix de gueules.
Devise : O L’AIDE DIEV
Il est une Chandelle qui veille en la nuit de L'Âme.
Sur le chemin d'un occulte labyrinthe.
Depuis des siècles langoureux, l'on songe à cette Femme.
En ces dédales écumantes et en l'appel des Nobles Étreintes.
Les effluves d'une chevelure sont désormais les seuls liens,
Des virginales aspirations, lors que L’Épreuve fait son Apparition.
Les chants de L'Incantation sont des fleuves dont on se souvient,
Lors que Le Chevalier des Lumières en cette Vénération,
Cherche incessamment à conquérir sa gente Dame.
La pureté de son intention ouvre La Voûte des Cieux,
Qui devient La Porte des secrets de L'Oriflamme.
Nul état n'est une chimère, plutôt L'Alchimie du Mystérieux.
Des étroits tunnels de La Conscience, lors que tout vibre,
Les Vertiges sont les Beautés écloses du Jardin d'un Roi.
C'est Là, que Ton Armure ruisselle des Majestés d'un filtre,
Dont Ton Épée s'abreuve quand Ton Cœur devient Sa Voie.
Il est alors une déchirure que le corps accueille en son Exaltation.
Ma Bien-Aimée, Tes yeux sont L'Abondance de mon Adoration.
Je suis en cette nostalgie du seul moment de Toi, ma Noble Dame.
Mon Amour me mène en ce Périple des Naissances perpétuelles,
Et Tu es, à ce jour, ma compagne, ma demeure et mon Ciel.
Je suis en L'Éblouissance de l'éternelle Union de nos âmes.
Océan sans rivage
Devise : O L’AIDE DIEV
Il est une Chandelle qui veille en la nuit de L'Âme.
Sur le chemin d'un occulte labyrinthe.
Depuis des siècles langoureux, l'on songe à cette Femme.
En ces dédales écumantes et en l'appel des Nobles Étreintes.
Les effluves d'une chevelure sont désormais les seuls liens,
Des virginales aspirations, lors que L’Épreuve fait son Apparition.
Les chants de L'Incantation sont des fleuves dont on se souvient,
Lors que Le Chevalier des Lumières en cette Vénération,
Cherche incessamment à conquérir sa gente Dame.
La pureté de son intention ouvre La Voûte des Cieux,
Qui devient La Porte des secrets de L'Oriflamme.
Nul état n'est une chimère, plutôt L'Alchimie du Mystérieux.
Des étroits tunnels de La Conscience, lors que tout vibre,
Les Vertiges sont les Beautés écloses du Jardin d'un Roi.
C'est Là, que Ton Armure ruisselle des Majestés d'un filtre,
Dont Ton Épée s'abreuve quand Ton Cœur devient Sa Voie.
Il est alors une déchirure que le corps accueille en son Exaltation.
Ma Bien-Aimée, Tes yeux sont L'Abondance de mon Adoration.
Je suis en cette nostalgie du seul moment de Toi, ma Noble Dame.
Mon Amour me mène en ce Périple des Naissances perpétuelles,
Et Tu es, à ce jour, ma compagne, ma demeure et mon Ciel.
Je suis en L'Éblouissance de l'éternelle Union de nos âmes.
Océan sans rivage
Tableau de George Frederic Watts (1817-1904)
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