Blason de Lörrach (Bade-Wurtemberg, Allemagne)
J'ai pleuré dans la détresse du non amour
Ah, J'ai versé les larmes qui demandaient secours
J'ai allongé mon corps dans les pénombres de mon être
Ah, J'ai hurlé dans le secret, le mal de ne pas être
Le fleuve a charrié le limon impur
La brise a soufflé jusqu'à l'usure
Confinée dans la solitude, j'ai vu naître
Ce qui n'a ni commencement ni fin
Pleurs et regrets, amertumes sans parfum
J'ai laissé tout cela partir dans l'Univers
Il a ouvert les yeux et a dit: Monde Tu es Mystère
Tu n'es pas fatigué, tu es encore plein d'entrain
Monde, non pas le décor, l'essence, ce doux refrain
Ce Soleil qui brille en son Sein
Pure circonférence
Voyage Céleste vers les petits et le Grand
Parcours, effleurement, oraison, jusqu'au firmament
Visite de la petite fille du ghetto et prince épouvanté
Le cœur ne s'appartient pas et aime sans compter
A l'image du Dieu de son âme
Voyage, âme, voyage et souris sans repos
Oublie tous ces mots
Voyage, car la Beauté a dépassé le petit sentiment
Comme tu as su, alors donne ouvertement
Ce n'est pas lui ou moi
C'est la magie du Mariage des Amants
Voilà pourquoi le Bonheur est état et grâce tout à la fois
Les larmes sont devenues Mélodie
Perles d'une joie indicible
Éclat de rire dans la nuit
Sourire dans l'Infini
Secret des âmes qui voyagent et cherchent les esseulés
Les caressent du manteau de la Bonté
Âme destinée à veiller, tes mains sont comme les ailes
Tu voles inlassablement de ciel en ciel
Toucher le petit cœur des malheureux
Leur vie est plus précieuse que la tienne
Car tu les aimes de l'Amour, quoiqu'il advienne
Ah, J'ai versé les larmes qui demandaient secours
J'ai allongé mon corps dans les pénombres de mon être
Ah, J'ai hurlé dans le secret, le mal de ne pas être
Le fleuve a charrié le limon impur
La brise a soufflé jusqu'à l'usure
Confinée dans la solitude, j'ai vu naître
Ce qui n'a ni commencement ni fin
Pleurs et regrets, amertumes sans parfum
J'ai laissé tout cela partir dans l'Univers
Il a ouvert les yeux et a dit: Monde Tu es Mystère
Tu n'es pas fatigué, tu es encore plein d'entrain
Monde, non pas le décor, l'essence, ce doux refrain
Ce Soleil qui brille en son Sein
Pure circonférence
Voyage Céleste vers les petits et le Grand
Parcours, effleurement, oraison, jusqu'au firmament
Visite de la petite fille du ghetto et prince épouvanté
Le cœur ne s'appartient pas et aime sans compter
A l'image du Dieu de son âme
Voyage, âme, voyage et souris sans repos
Oublie tous ces mots
Voyage, car la Beauté a dépassé le petit sentiment
Comme tu as su, alors donne ouvertement
Ce n'est pas lui ou moi
C'est la magie du Mariage des Amants
Voilà pourquoi le Bonheur est état et grâce tout à la fois
Les larmes sont devenues Mélodie
Perles d'une joie indicible
Éclat de rire dans la nuit
Sourire dans l'Infini
Secret des âmes qui voyagent et cherchent les esseulés
Les caressent du manteau de la Bonté
Âme destinée à veiller, tes mains sont comme les ailes
Tu voles inlassablement de ciel en ciel
Toucher le petit cœur des malheureux
Leur vie est plus précieuse que la tienne
Car tu les aimes de l'Amour, quoiqu'il advienne
Océan sans rivage
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