Blason de Schoenthal (Oberpfalz, Bavière, Allemagne)
Ô Fidèle Compagnon, mon Confident, mon Aimé
Celui que je trouve à chaque visite dans le secret
Ô Ami qui tient mon cœur entre Ses doigts, Ô mon Roi
Ô Magicien qui joue avec la Lumière et me fait sienne
Je réponds à Ton Appel : « Il faut que tu viennes »
Aussi loin où se porte le Regard, je Te vois
Mes sanglots ne sont qu’Amour, Vénération
Chaque soubresaut est tantôt plainte, tantôt Joie
Quand Tu me serres, je chéris Tes Bras
Je bois à l’Élixir qui m’offre la Contemplation
Quand la tempête fait rage, que le précipice est là
Ta chaleur apaise mes souffrances, je suis face à Toi
Tu as déchiré l’Illusion et me fait gravir un Mont
Ici, l’air tremble de froid mais enchante ton Amante
Un feu ardent brûle en moi et couvre l’horizon
Ce vent qui est l’espoir me ramène des nouvelles savantes
Je bois, encore, je bois à cette source bienfaisante, Ô saveur
La fraîcheur d’une Eau, mon âme reconnaissante
Désaltère cette pauvre mendiante, embaume de bonheur
Ses lèvres asséchées, perles de rosées en ce bassin inaltéré
Cette Vie a le goût des fleuves qu’on ne trouve qu’ici
Plonge sans crainte de se noyer en cette onde effervescente
Sur la route des marcheurs qui traversent la longue nuit
Pieds écorchés, perles de sang en cet Amour Éthéré.
Océan sans rivage
Ô Ami qui tient mon cœur entre Ses doigts, Ô mon Roi
Ô Magicien qui joue avec la Lumière et me fait sienne
Je réponds à Ton Appel : « Il faut que tu viennes »
Aussi loin où se porte le Regard, je Te vois
Mes sanglots ne sont qu’Amour, Vénération
Chaque soubresaut est tantôt plainte, tantôt Joie
Quand Tu me serres, je chéris Tes Bras
Je bois à l’Élixir qui m’offre la Contemplation
Quand la tempête fait rage, que le précipice est là
Ta chaleur apaise mes souffrances, je suis face à Toi
Tu as déchiré l’Illusion et me fait gravir un Mont
Ici, l’air tremble de froid mais enchante ton Amante
Un feu ardent brûle en moi et couvre l’horizon
Ce vent qui est l’espoir me ramène des nouvelles savantes
Je bois, encore, je bois à cette source bienfaisante, Ô saveur
La fraîcheur d’une Eau, mon âme reconnaissante
Désaltère cette pauvre mendiante, embaume de bonheur
Ses lèvres asséchées, perles de rosées en ce bassin inaltéré
Cette Vie a le goût des fleuves qu’on ne trouve qu’ici
Plonge sans crainte de se noyer en cette onde effervescente
Sur la route des marcheurs qui traversent la longue nuit
Pieds écorchés, perles de sang en cet Amour Éthéré.
Océan sans rivage
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