La lune forestière, une joyeuse dame,
Se laisse aller, parfois, à d’étranges langueurs ;
Puis, son plaisir revient, avec plus de vigueur,
Mille choses sont là pour enchanter son âme.
Son teint immaculé devient couleur de flamme,
Elle va se fermant, la plus timide fleur,
Oubliant des humains le regard de douleur,
Un dragon la mordille et, grignotant, l’entame.
Puis, nous la revoyons qui grandit à nos yeux,
Elle reprend sa place en son naturel lieu,
Et nos humains regards bientôt se rassérènent.
En rêvant à la lune, on oublie les tourments,
On se transporte un peu dans le grand firmament,
Avec l’astre nocturne, avec la blanche reine.
Cochonfucius
Voir aussi sur Pays de Poésie
Se laisse aller, parfois, à d’étranges langueurs ;
Puis, son plaisir revient, avec plus de vigueur,
Mille choses sont là pour enchanter son âme.
Son teint immaculé devient couleur de flamme,
Elle va se fermant, la plus timide fleur,
Oubliant des humains le regard de douleur,
Un dragon la mordille et, grignotant, l’entame.
Puis, nous la revoyons qui grandit à nos yeux,
Elle reprend sa place en son naturel lieu,
Et nos humains regards bientôt se rassérènent.
En rêvant à la lune, on oublie les tourments,
On se transporte un peu dans le grand firmament,
Avec l’astre nocturne, avec la blanche reine.
Cochonfucius
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