Blason de Chérisay (Sarthe, pays de la Loire)
D'azur à la coccinelle soutenue de deux branches de chêne,
les tiges passées en sautoir en pointe, le tout au naturel.
Des insectes qui s'en viennent visiter le jardin,
Il en est qui sont les bienvenus, tels l'abeille,
Le gros bourdon et le papillon baladin,
Sans oublier le forficule dit perce-oreille
Et, bien sûr, la coccinelle dite bête à bon dieu
Qui sont du jardinier les précieux auxiliaires
Car les pucerons leur sont un mets délicieux.
Ils ont donc leur place choisie et particulière.
Il en est un autre, malgré son bel aspect,
Que tout planteur de pommes de terre redoute :
On aura reconnu le doryphore sans doute,
Un gaillard qui est loin d'inspirer le respect
Car il met le potager en état de guerre :
Il se sert sans retenue, ça ne le gène guère !
Les dialogues du blason
les tiges passées en sautoir en pointe, le tout au naturel.
Des insectes qui s'en viennent visiter le jardin,
Il en est qui sont les bienvenus, tels l'abeille,
Le gros bourdon et le papillon baladin,
Sans oublier le forficule dit perce-oreille
Et, bien sûr, la coccinelle dite bête à bon dieu
Qui sont du jardinier les précieux auxiliaires
Car les pucerons leur sont un mets délicieux.
Ils ont donc leur place choisie et particulière.
Il en est un autre, malgré son bel aspect,
Que tout planteur de pommes de terre redoute :
On aura reconnu le doryphore sans doute,
Un gaillard qui est loin d'inspirer le respect
Car il met le potager en état de guerre :
Il se sert sans retenue, ça ne le gène guère !
Les dialogues du blason
Joli blason, très bucolique et primesautier.
RépondreSupprimerQuant aux doryphores, le traumatisme est grand ! Nous n'en revenons pas.
Tout à fait. C'est même un double traumatisme car, outre les plantes qui sont rapidement ravagées, l'on se trouve à devoir endosser le rôle d'un exterminateur, tant cette espèce se reproduit vite.
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